@ Queen’s Mir Âge,
Pour ma part, je persiste et signe : « il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir » et c’est très exactement pour cela que j’ai introduit mon dernier article en citant Bergson : « L’œil ne voit que ce que l’esprit est prêt à comprendre. »
Ainsi donc, mon incomplétude n’est que le reflet de votre propre ignorance des stratégies manipulatoires des harceleurs et c’est très exactement parce que je refuse et que je dévoile les manipulations de grands délirants pervers que je m’expose (sciemment) à leurs tactiques d’enfumage qui ne m’impressionnent plus depuis longtemps, car dans l’histoire en fait, c’est vous, le public, qui vous faites manipuler sans en avoir conscience (nous retombons là sur le souci de conscience de Self con troll). Aussi, plutôt que d’afficher vos certitudes et vos jugements péremptoire, adopter une démarche zététicienne et posez-vous la bonne question. Cela rendrait le débat intéressant.
N’ayant aucune appétence à instruire des ignorants qui refusent de se poser les bonnes questions et se permettent des jugements à l’emporte pièce, j’en resterais là. Et puisqu’il faut résumer mon incomplétude, que j’assume pleinement en l’occurrence, précisons pour conclure qu’elle n’est que la paille que vous voyez dans mon œil là où vous oubliez la poutre qui est dans le votre (vous connaissez le dicton, je présume).
Au plaisir sous un autre article (ou sujet).
P. S. :
En aparté et comme je travaille régulièrement sur ce sujet (cf. Arianne Bilheran,
Le harcèlement, lisez au moins la préface pour vous dessillez un peu), je vous livre ici une citation que j’insère dans mon prochain article :
"La séquence de
l’induction d’une réaction chez l’autre, puis sa dénonciation, est une manœuvre
terriblement dévastatrice, car elle ôte à celle qui en est victime toute
légitimité et tout sens.« L’induction est avec l’inversion l’une des armes favorites des narcisses pervers de société comme les nomme André Sirota (cf.
Pervers narcissique, comprendre, déjouer, surmonter). Comprenons-nous bien, je parle là de recherches, non pas de thérapie. La recherche est le niveau au dessus de l’acte thérapeutique, même si ce dernier lui est parfois consubstantiel (mais pas indispensable). Vous comprendrez peut-être que votre »aveuglement" est également pour moi un objet de recherche, mais vous m’avez déjà donné tout ce qu’il m’était nécessaire de savoir.