Continuons dans les « boutades » chers à M. Labrune, et voyons ce qu’il va trouver à présent comme justification aux agissements de l’authentique fascisme de la plus pure extrême-droite sioniste :
"Tout le monde doit bouger,
courir, et s’emparer d’autant de collines qu’il est possible pour agrandir les
colonies parce que tout ce que l’on prendra maintenant restera à nous..tout ce
que nous ne prendront pas par la force, ira à eux." Ariel Sharon, premier
Ministre Israélien lors d’un meeting de militants du parti d’extrême droite
Tsomet. AFP, 15 novembre 1998.
"Les accords d’Oslo sont très
importants pour les Palestiniens depuis que ce sont les seuls accords officiels
qu’ils possèdent. Nous avons un autre document, encore beaucoup plus
ancien...la Bible." Ariel Sharon parlant dans une conférence à
Washington, le 8 mai 1998.
"Nous ne savions pas ce qu’il
fallait faire d’eux (prisonniers de guerre Egyptiens en 1956). Il n’y avait pas
d’autre choix que de les tuer. Ce n’était pas une telle affaire si vous prenez
en considération que je dormais bien après avoir échappé aux fours crématoires
d’Auschwitz." l’ex Brigadier Chef Israélien Arieh Biro, The New York
Times, 21 août 1995.
"Les Palestiniens devraient être
écrasés comme des sauterelles...leurs têtes fracassées contre des rochers et
des murs." le premier Ministre Israélien Yitzhak Shamir s’adressant aux
colons Juifs New York Times 1 avril 1988.
"Nous devons tuer tous les
Palestiniens jusqu’à ce qu’ils soient résignés à vivre ici comme des esclaves
". Le président Heilbrun du comité pour la réélection au poste de maire de
Tel Aviv du Général Shlomo Lahat en octobre 1983.
"Nous déclarons ouvertement que
les Arabes n’ont pas le droit de s’installer sur même un cm d’Eretz Israel. la
force est le seul langage qu’ils comprennent. Nous devrons utiliser la force
ultime jusqu’à ce que les Palestiniens viennent en rampant vers nous à quatre pattes.
" Rafael Eitan, Chef d’Etat Major des forces israéliennes. New York Times
le 14 avril 1983.
"Lorsque nous aurons colonisé le
pays, tout ce que les Arabes seront capables de faire, sera de détaler tout
autour comme des cafards drogués dans une bouteille." Rafael Eitan, Chef
d’Etat Major des forces israéliennes New York Times le 14 avril 1998.
"Les Palestiniens sont comme des
bêtes marchant sur deux pattes." Menahim Begin, discours à la Knesset,
cité par Amnon Kapeliouk, « Begin et les bêtes ». New Statesman le 25
juin 1982.
"Nous marchions dehors, Ben
Gourion nous accompagnant. Allon répéta cette question, qu’est ce qu’on doit
faire de la population Palestinienne ? Ben Gourion agita sa main dans un geste
qui voulait dire ’conduisez-les en dehors’ ! " Yitzhak Rabin, la version
censurée des Mémoires de Rabin divulguée, publié dans le New York Times le 23
octobre 1979.
"C’est le devoir des leaders
Israéliens d’expliquer à l’opinion publique clairement et courageusement, un
certain nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps Le premier est qu’il
n’y a pas de sionisme, de colonisation, d’Etat Juif sans l’éviction des Arabes
et l’expropriation de leurs terres. ". Yoram Bar Porath, Yediot Aahronot
le 14 juillet 1972
"La thèse que le danger de
génocide était suspendu au dessus de nos têtes en juin 1967 et qu’Israel
combattait pour sa survie était juste un bluff, qui est né et s’est développé
après la guerre ". Le Général Israélien Matityahu Peled, Ha’aretz le 19 mars
1972
"Il n’y a pas semblable chose
que les Palestiniens, ils n’ont jamais existé." Golda Meir premier Ministre
Israélien le 15 juin 1969
"Des villages juifs furent
construits à la place des villages arabes. Vous ne pouvez même pas connaître le
nom de ces villages arabes, et je ne vous blâme pas parce que les livres de
géographie existent depuis peu. Non seulement les livres n’existent pas, les
villages arabes ne sont pas là non plus. Nahlal s’élève à la place de Mahlul ;
Kibbutz Gvat à la place de Jibta : Kibbutz Sarid à la place de Huneifis ; et
Kefar Yehushua à la place de Tal al-Shuman. Il n’y a pas un seul endroit
construit dans ce pays qui n’ai pas eu une ancienne population Arabe. "
Moshe Dayan, adressé à The Technion Haifa, rapporté par Ha’aretz le 4 avril
1969