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Commentaire de Arnold

sur A quand l'émancipation et l'indépendance de l'Afrique ???


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Messan Arnold Arnold 23 novembre 2017 23:39

@Ouam,
ravi que tu plussoies...... Pourquoi dis-tu : « les points à changer : des bases d’une culture d’un autre temps » ???
Toutes les cultures sont d’un autre temps et à aucun moment il n’a été nécessaire d’en changer, encore moins s’agissant des bases autrement dit du socle.Il m’apparaît essentiel, de valoriser la culture en général, parce que chaque continent à son histoire et ces disparités, on ne peut changer ou renier ce qui est commun à un groupe d’individus » et comme « ce qui le soude », c’est-à-dire ce qui est appris, transmis, produit et créé (d’après le Larousse lol). En cela elle doit demeurer un aspect indissociable de notre être(en tant que personne). Je pense qu’objecter cela reviendrait à reposer la question de « prééminence » dans les cultures, dans les races. Il n’en est pas question.
J’infirme la perception que tu as sur « la valeur des enfants » et me désole de l’image que tu exploites comme exemple.(lol)
Néanmoins, est-ce à dire que les Africains ne s’acquittent pas des valeurs qu’ils devraient inculquer à leurs enfants ??? J’espère que c’est pas à cela que tu fais allusion ???
Il ne faut pas amalgamer « culture et coutume » , pour moi une coutume est plutôt observer par une ethnie ( pratique une une coutume en communauté) faisant partie d’un ensemble et, une culture englobe justement tout l’ensemble ( un pays voir un continent a une culture).
Il est incontestable qu’il subsiste des coutumes qui ne devraient plus perdurer, tant est qu’elles soient primitives et surtout cruelles. Mais il n’y a aucune corrélation entre la culture, les coutumes et, la souveraineté de l’Afrique que je prône. Ils n’en sont pas l’instigateur, ces particularismes, coutumes et autre n’ont pas d’ascendants sur les déséquilibres auxquels les Africains sont accolés, mais assoient leur pérennités
Je concède cependant volontiers, que le développement, une croissance harmonieuse, plus d’infrastructures, le mieux vivre, tous ces éléments concourront à abolir ces coutumes d’un autre temps, mais en aucun cas la culture.On en serait malheureux.

   

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