@Fergus
STO ? vous avez dit STO.... justement..... vous devriez savoir que le STO était vécu comme un honte après la guerre ; des milliers d’hommes ont pris le maquis pour échapper au STO. Les autres, n’en ont pas parlé. En ce qui concerne Brassens, des années durant cet épisode est resté tu.
Ce qui a retenu mon attention à propos de Brassens : le texte de la chanson présentée... en lien direct avec ceci :
2 - Son activité durant l’occupation
3 - Le fait qu’il fasse l’unanimité dans tous les milieux de la chanson et dans la bourgeoisie : petite, moyenne et grande bourgeoisie - en revanche, quasiment ignoré chez l’ouvrier des années 60 et 70.
4 - Le « bilan » à la fois artistique de sa production.
5 - Les publics respectifs de Brassens et de Ferré ne s’y sont pas trompés : ces deux publics ne se fréquentaient pas : difficile dans les années 70 de concilier Le Forestier et Lavilliers.
Le sujet de mon billet c’est sa conclusion :
1 - Brassens ne s’est dérangé pour personne et n’a dérangé que quelques grenouilles de bénitier et autres culs serrés
2 - Si un train peut en cacher un autre, Brassens, c’est le recours contre la célébration et la transmission de l’œuvre d’un « artiste total » finalement bien encombrant : Léo Ferré
Je ne m’en excuserai pas.