« Il était né dans la rue un soir de juin 1943 et n’était le fils de personne, il aurait pu connaître le pénitencier » (...)
C’est quoi cette légende à la Hector Malot ?
Je ne savais pas qu’il avait été abandonné à la naissance, ni que ses parents étaient inconnus...
Ah pardon, vous ne faites que souligner le fait qu’il n’ait été que tardivement reconnu par son père peut-être. En tout cas il n’a pas connu la DASS ni l’ASE.
Connaitre le pénitencier ? oui, enfin, restons mesurés tout de même, il n’avait pas une vie de gangster, ni de chien de la casse. C’était plutôt un enfant de la balle, donc plutôt préservé, que cela soit dit. Comme les fils Cassel par exemple, pour ne citer qu’eux.
Que de « mélodrames » arrangeants et approximatifs juste pour coller aux mots de ses chansons. Ce genre d’exercice de style - l’hommage au défunt - n’est pas chose aisée, mais apparait un brin ridicule dès lors qu’une forme de mythification entre en jeu.
Mais bon, je respecte votre peine de « fan », et ne vais pas appuyer plus avant ma critique des hommages réécrivant l’histoire de façon quelque peu romancée.
Phénomène post mortem des plus banals. Et probablement le moins négatif d’entre eux, malgré tout, surtout provenant d’un anonyme.
Au-delà de cela, sa mort est clairement instrumentalisée « ad nauseam ». Non pas par vous, mais par tout le système médiatique et politique qui, comme à son habitude depuis un certain temps, ne s’honore aucunement dans ce genre de gesticulations morbides et outrancières.
La vie continue.