@Gilbert Spagnolo dit P@py
Vous confondez islamisme et islam. Il n’y a pas une montée de la pratique religieuse en France. C’est l’inverse qui se produit. Mais il est impossible d’établir une statistique nationale. On peut seulement observer ce qui se passe localement en repérant le nombre de fidèles qui sortent des mosquées ou des églises. Il est à peu près fixe ou en régression lente, toujours faible rapporté à la population concernée.
Les jeunes adultes nés dans une famille musulmane et de ce fait étiquetés musulmans mais qui boivent de la bière sont de plus en plus nombreux. Seulement, ils ne s’en vantent pas, ils sont un peu honteux.
Un autre groupe est constitué par ceux qui considèrent que la religion est une affaire privée, que le djihad est la lutte contre soi-même et ses péchés. Ils sont toujours aussi nombreux parmi ceux qui sont restés pratiquants.
Ces deux catégories détestent les islamistes fanatiques et ne voudraient en aucun cas tomber sous leur coupe et se voir appliquer la charia !
Bien entendu les femmes nées en France ne veulent pas que leur témoignage compte pour la moitié de celui d’un homme et que leur mari puisse les battre impunément, les sodomiser sans leur consentement et les chasser en disant trois fois « Je te renie » !
Pour créer une diversion, susciter le division entre gens du peuple, les merdias montent en épingle les prières de rue.
À ma connaissance les prières de rue ne concernent qu’une ou deux communes de la région parisienne.
Les attentats ont un lien avec la déstabilisation de l’Irak, de la Syrie et de la Lybie en attendant celle du LIban, ou sont le fait de déséquilibrés analogues aux tireurs fous des USA.
De toute façon, interdire ou entraver une pratique religieuse serait la meilleure façon d’encourager sa pratique radicale.