@mmbbb
C’est incroyable d’etre aveugle à ce point.
Le problème de l’éleveur africain, c’est le WWF responsable de plus de 20 millions de personnes sous prétexte e biodiversité et non les prédateurs.
Au Botswana et au Cameroun, les peuples indigènes sont accusés de braconnage parce qu’ils chassent pour se nourrir. Ils sont en butte aux brutalités, aux arrestations, à la torture et à la mort tandis que les chasseurs de trophées sont privilégiés.
Maintenant libre a vous de défendre le sauvage à n’importe quel prix au détriment des petites structures agricoles qui sont une des solution à l’économie respectueuse et durable :
« le pastoralisme - la production extensive de bétail dans les pâturages - offre d’énormes avantages à l’humanité et devrait être considéré comme un élément majeur de la transition mondiale vers une économie verte »/…./
constate que : « le pastoralisme durable dans les écosystèmes de grands pâturages libres / …/ préserve la fertilité des terres et le carbone présent dans sol, et contribue à la régulation de l’eau et à la conservation de la biodiversité. Les autres avantages qu’il présente se trouvent sous la forme de produits alimentaires de grande valeur. En effet, un demi-milliard de pasteurs à travers le monde se battent pour maintenir un mode de vie qui est beaucoup plus compatible avec les objectifs de l’économie verte que beaucoup de nos méthodes modernes d’élevage du bétail. »
Je vous conseille de relire :
,