@alinea

 "plus on a d’articles au compteur, moins on a besoin de votes."

Sans blague ! Alors là, j’en reste sur le…

Belle trouvaille pour conserver son pré carré !

 

Je comprends maintenant l’acharnement de certain(e)s à proposer à une fréquence effrénée analyses politiques de haut vol, études sociales d’une profondeur insondable, décryptages divers d’une finesse stupéfiante, pamphlets moralisateurs, jugements péremptoires et autres bijoux littéraires.

Je comprends aussi la tendance de certain intervenant à brandir sa qualité de Modérateur en guise d’avertissement ou manifestation de condescendance.

Et je comprends pourquoi il n’est pas possible d’obtenir de l’équipe AgoraVox des précisions sur les modalités exactes de validation des articles.

Pour info, voici ce que j’écrivais le 21 septembre après 200 commentaires sur mon article sur le « droit de baillon » :

"MERCI A TOUS LES INTERVENANTS

Cependant, je souhaite ajouter deux choses :

<> J’espérais des réactions de modérateurs notoires. J’ai été déçu ; il y en a eu bien peu et ils se sont bien gardés d’un avis tranché sur mes propositions.

<> Outre ces propositions, je posais, de façon certes sous entendue mais néanmoins claire, des questions précises sur le fonctionnement actuel :

- de combien est le différentiel positif nécessaire à une publication et en est-il le seul élément décisif ?

- mon hypothèse selon laquelle il y a une chasse aux « pour », afin de prendre de vitesse les « contre », est-elle fondée ?

RIEN sur ces questions !

Y aurait-il une OMERTA chez AgoraVox ?"

Vous venez de me fournir un (entre autres) élément de réponse, notamment sur la position des modérateurs notoires.

Tous ceux-là, pourtant bien prompts à dénoncer, dans moult articles, les rentes de situation des personnalités politiques ou économiques, se gardent bien de s’exprimer sur ce qui pourrait mettre en cause la leur sur AV.

Bonne soirée ! Et doucement, le bûcheronnage. On se retrouve facilement dans le meilleur des cas avec une bonne sciatique (ça m’est arrivé), dans le pire sur un fauteuil roulant (je l’ai vu).