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Commentaire de liebe

sur Eléments de réponse à l'Inserm : « Que dit la science à propos des 11 vaccins obligatoires ? »[1]


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liebe liebe 23 décembre 2017 22:07

@finalfox
Le nombre de valences est important car il s’agit d’un agent pathogène différent injecté dans la même seringue.  3 pour le ROR : rougeole oreillons et rubéole. Le ROR utilise des virus atténués et non tués. 


On oublie qu’un vaccin fait parti des médicaments et on a complètement banalisé son injection. 

Combien de risque a un enfant de rencontrer ces 3 virus en même temps ? 
 
Osons le dire aucun. par conséquent , on demande à l’organisme d’un enfant d’être capable d’assimiler 3 valences même atténuées en même temps. Il est faux de dire que l’enfant est confronté à des milliers d’agents pathogènes en même temps. non , c’est beaucoup plus complexe que cela. . 

On doit donc être extrêmement vigilants quant aux réactions induites par ce vaccin : thrombopénie, allergie à la néomycine, aux oeufs etc ... et sans doute d’autres effets. 

Au niveau de la commercialisation , aucune étude des 3 valences injectées ensembles n’a été effectuée. Aucune. on a considéré que si les vaccins étaient viables en étant seul, on pouvait les mettre ensembles et l’organisme réagirait de la même manière . 

Les problèmes de vacciner ainsi les enfants avec le ROR sont apparus : 

  • Premier problème  : déplacement de la maladie à des âges où elle n’apparaissait pas auparavant : chez le nourrisson et chez l’adolescent et l’adulte. Souvent la maladie apparaît chez des personnes vaccinées. La maladie était considérée , à l’époque dans mon enfance comme bénigne. Nous l’avons d’ailleurs tous attrapée. il fallait faire sa rougeole comme on devait faire ses oreillons. L’immunité ainsi acquise restait grâce au virus circulant. La jeune mère protégeait son nourrisson en lui donnant ses propres anticorps.  La maladie est beaucoup plus importante et grave chez l’adulte. L’immunité acquise par un vaccin n’est pas pérenne. Par conséquent, les jeunes parents ne protègent plus le nourrisson, les jeunes mamans ne transmettent plus leurs anticorps.. 
  • Deuxième problème :  Cela concerne la rubéole. Comment justifier l’injection par le vaccin contre la rubéole à l’âge d’un an , alors que la rubéole est dangereuse lors de la grossesse pour le fœtus ? Nous avons à peine le recul nécessaire qui permet de noter que la jeune femme a ou n’a pas assez d’anticorps pour protéger le bébé qu’elle porte. 
  • Troisième problème : En banalisant la vaccination, on ne permet pas aux médecins d’avoir le recul nécessaire pour réfléchir aux possibles conséquences des vaccins à moyens et longs termes.  
  • Quatrième problème : si un effet secondaire se déclare on ne saura pas qu’elle est la valence responsable . 
Au delà de tout cela , on peut tout de même réfléchir un peu plus loin, un enfant qui aura eu la rougeole, on va le vacciner forcément avec le ROR ? 
Quelle sera l’incidence de vacciner un enfant avec le virus atténué qu’il a déjà eu ? 

Si l’enfant a eu les 3 maladies , sera t’il refusé à l’école parce qu’il ne sera pas vacciné ? 



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