@McGurk
« veiller à la réintroductions d’espèces disparues car abattues de sang froid par agriculteurs et chasseurs, etc »
Juste une petite rectification :
« Les paysages qui abritent la plus forte biodiversité sont composés d’habitats semi-naturels. /…/ Les principaux types sont les prairies exploitées de façon extensive ou peu intensive, les vergers traditionnels, les zones boisées (haies, bosquets champêtres, berges boisées). /…/ En France, 84 % des surfaces classées en « haute valeur naturelle » correspondent à des zones d’élevage en plein air (Alpes, Corse, Franche-Comté, Massif central, Pyrénées…). »
Même analyse au niveau planétaire. FAO 2009. Livestock keepers – guardians of biodiversity. ( = Éleveurs – gardiens de biodiversité) In Animal Production and Health Paper. No. 167. Rome
« Les paysages créés par la coévolution de l’élevage et de la végétation ressemblent souvent à des zones sauvages pour les étrangers /alors que/ la disparition des systèmes traditionnels de pâturage tend à s’accompagner de pertes importantes de biodiversité. »