@Xenozoid
2eme partie
La reproduction est un gros problème pour l’homme et la femme
bourgeoise. Ils ne peuvent avoir des enfants que dans des circonstances
très précises, tout le reste est « irresponsable », « idiot », « une
mauvaise décision pour l’avenir. " Ils doivent être prêts à donner
jusqu’à la dernière trace de leur jeunesse, de leur liberté égoïste pour
avoir des enfants, car mobilité que leur entreprise leur demande et la
concurrence vicieuse qui va avec, ont détruit le réseau communautaire
qui depuis longtemps était utilisé pour partager l’éducation des
enfants. Maintenant, chaque unité familiale est un minuscule avant-poste
militaire, fermé et verrouillé à l’extérieur à la fois dans leurs cœurs
et dans la paranoïa de leurs banlieues, chacun de ces foyers est une
économie émotionnellement isolée sur elle-même où la rareté est le mot
clé. Le père et la mère doivent abandonner leur moi pour les rôles
prescrits de soignant et gagne-pain, car dans le monde bourgeois, il n’y
a pas d’autre moyen. Ainsi leur propre fécondité est une menace a leur
propre liberté, et une partie naturelle de la vie humaine est devenue un
mécanisme de contrôle social.
Ensemble, ils vivent dans un enfer de non-accomplissement. Ce qu’ ils
ont besoin est une véritable communauté autour d’eux, de sorte que leur
parentalité ne les force pas dans d’indésirables « respectabilité », de
sorte qu’ils seront toujours libres d’avoir des aventures individuelles
dont ils ont besoin pour maintenir leur temps réelement ensemble, de
sorte de ne jamais se trouver eux-mêmes si perdu et désespérément seul.
De la même façon, leur approvisionnement régulier de nourriture, de
commodités, le confort,et autres diversions ne changeront rien, ces
choses acquièrent leurs valeurs par leurs abscences, et peuvent offrir
une véritable joie comme un luxe qui arrive aprés la poursuite de
quelque chose de plus. Un accès constant au sexe, à la nourriture, à la
chaleur et a un abri désensibiliser l’homme aux plaisirs mêmes qu’ils
offrent. L’homme bourgeois a renoncé à sa chance de poursuivre les
enjeux réels de la vie pour l’assurance qu’il aura tout cela, mais sans
véritables enjeux de sa vie, ceux-ci ne peuvent lui offrir la joie
autres que la compagnie de ses codétenus.
Les joies a la substitution de la vie
Vous pouvez faire une rapide liste de tous les désirs de
l’hommebourgeois juste en allumant sa télévision ou entrer dans une de
ses salles de cinéma. Il passe le plus clair de son temps comme il peut
dans ces diverses réalités virtuelles, car il sent instinctivement
qu’ils peuvent lui offrir plus d’excitation et de satisfaction que le
monde réel. Le plus triste est que, tant qu’il y demeure, cela peut
effectivement être vrai. Et tant qu’il accepte le déplacement de ses
désirs dans le marché en payant pour des imitations de leur réalisation,
il sera lui même pièger dans ce vide qu’ il croit combler avec des
illusions.
Ces désirs ne sont pas toujours joli à voir, joué en Technicolor et
surroundsound : les rêves et les appétits de l’homme bourgeois sont
comme infectés par la fétichisation de pouvoir et de contrôle que sa
société offre. Il semble être en mesure d’offrir à une expression de la
liberté, le désir libéré et le fantasme de tous les consommateurs de
destruction qui apparaît encore et encore au coeur noir de ses rêves les
plus fous sous inflence d’une fièvre cinématographiques. Cela a un
sens après tout , dans un monde de rien, a part les centres commerciaux
linéaires et les parcs à thème, quelle est la chose à faire, si ce n’est
détruire ?
L’homme bourgeois n’est pas équipé pour afficher ses désirs comme autre
chose que des faiblesses, il les repousse avec des placebos parce que
sa vie n’a jamais été la poursuite du plaisir, il a passé plusieurs
siècles a atteindre des normes de plus en plus élevées de survie au
détriment de tout autre. Ce soir, il est assis dans son salon entouré
par des ordinateurs, décapsuleurs, détecteurs de radar, les systèmes de
divertissement à domicile, cravates fantaisie, dîners de micro-ondes, de
portables et autres smartphones, avec aucune idée sur le pourquoi.
L’homme bourgeois n’existe qu’en vertu des œillères qu’il porte et qui
l’empêchent d’imaginer que tout autre mode de vie est possible. Pour
lui, tout le monde depuis les travailleurs migrants pauvres de sa nation
aux moines du Tibet, tout le monde devrait être bourgeois, si seulement
ils pouvaient se le permettre. Il fait de son mieux pour maintenir ces
illusions, sans celles-ci, il aurait à faire face au fait que sa vie ne
vaut pour rien.
L’homme bourgeois n’est pas un individu. Il n’est pas une personne
réelle. Il s’agit d’un cancer à l’intérieur de chacun de nous. Il peut
maintenant être guéri. Il suffit d’y croire comme un placebo.
Il y a 150 ans un écrivain écrivait ,« la démocratie a pour principe d’élever le prolétaire au niveau de bêtise du bourgeois »
30/12 14:44 - Mmarvinbear
@C’est Nabum Certains leaders sont en détention préventive, d’autres sont toujours (...)
30/12 13:29 - L’enfoiré
@Nabum Bonjour Ça se corse. Dans la CatalExit on a la même situation que le BrExit Londres (...)
29/12 18:52 - Mélusine ou la Robe de Saphir.
@C’est Nabum Je vous conseille celui-ci : https://www.google.be/search?q=Jeu+avec+des+cochons
29/12 18:48 - Xenozoid
@Xenozoid 2eme partie La reproduction est un gros problème pour l’homme et la femme (...)
29/12 18:47 - Mélusine ou la Robe de Saphir.
Les butins de la Nuit suite De retour dans son appartement, un message sur son répondeur (...)
29/12 18:46 - Xenozoid
@jaja 1ere partie : Le charme discret de la bourgeoisie ou, La tyrannie du Sèche-cheveux (...)
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