@njama
J’ai tellement écrit sur les vaccins... D’ailleurs je prépare un livre qu’on m’a demandé d’écrire.
Donc je n’écrirai rien sur cet article, qui est fort bon (sauf qu’il n’expose pas assez les dégâts des deux vaccins contre la coqueluche).
Je reproduirai simplement cette lettre d’un avocat qui a perdu son fils après vaccin, qui montre l’arrogance des pseudo-experts, et leur immense incompétence :
Maître Frédéric Hoffet du barreau de Strasbourg qui a perdu un enfant à la suite d’une vaccination écrit :
« Ce qui est intéressant dans le cas de mon fils, c’est la lumière qu’il jette sur les méthodes de l’Institut … et de nos autorités médicales et sur des vices de raisonnement qui heurteraient d’emblée le moindre professeur de logique, le moindre juge d’instruction. Au lieu de savants froids et pondérés que j’avais cru trouver, je découvris des pontifes remplis de leur importance, n’acceptant pas la moindre contradiction et élevant au niveau d’a priori indiscutables les doctrines peut-être intéressantes, peut-être même fécondes, mais nécessairement relatives, dont ils font leur affaire…On reste pantois devant la simplicité et la crédulité de nos professeurs. Nous ne sommes plus sur le terrain de la réalité, mais en pleine mystique : ces Messieurs sont des croyants, l’élément essentiel du raisonnement scientifique, qui est le doute, leur fait défaut…Ce qu’il y a de plus grave, et ce que nous enseigne l’affaire de mon fils, c’est que l’on ne peut avoir aucune confiance dans les raisonnements de nos maîtres, dans les déclarations de nos autorités médicales et dans les statistiques dont celles-ci s’enorgueillissent…Où reste l’intégrité de la personne ? Où reste le respect de l’individu, la dignité de l’esprit, la science, en face de doctrines obligatoires et infaillibles assorties de sanctions pénales ? Tout cela sent étrangement le totalitarisme.
Il est nécessaire que les Français se rendent enfin compte qu’ils sont victimes, de la part de leurs autorités médicales, d’une dictature d’autant plus odieuse qu’elle est, non seulement occulte mais, ce qui est pire inconsciente. Il est temps qu’une médecine vraiment scientifique et humaine, une médecine libre, que ne lie aucune crainte, n’arrête aucun tabou, détrône la médecine dogmatique et officielle de nos pontifes et de nos ministères. » (44)
Maître Frédéric HOFFET