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Commentaire de Nicole Cheverney

sur Mes chers confrères, parlons encore vaccins


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Nicole Cheverney Nicole Cheverney 9 janvier 2018 08:00

Si le business lié aux « vaccins » ne rapportaient pas autant de milliards de dollars ou d’Euros par an, aux actionnaires des grands laboratoires pharmaceutiques et à toutes les personnes physiques et « morales » (entreprises) - qui gravitent autour, le mot « vaccin » aurait autant d’importance que le mot grain de poussière.

C’est la raison pour laquelle, aujourd’hui et dans le contexte actuel, sachant tout ce qu’il se cache derrière le business des vaccins, et des médicaments, la « violence » des mots utilisée contre les défenseurs de la « liberté vaccinale » me parait hautement suspecte et certainement pas motivée par des argument médicaux, encore moins d’ordre éthique.
Malgré l’accumulation d’accidents post-vaccinaux, et en parfaite connaissance de cause et des faits rapportés - et qui se multiplient - , les tenants de la « vaccination obligatoire » continuent leur démarche contraire à toute logique humanitaire et altruiste.

Le mot altruisme s’accorde mal avec le mot « profit ».

Notre époque n’est pas celle de l’éthique mais celle d’une corruption installée jusque dans les moindre interstices de la société, de haut en bas.

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