- condamnation de l’Opposition mais aussi de gens qui n’appartiennent pas à l’univers de la Politique :
** la Quadrature du Net ; Par ailleurs, la loi de confiance dans l’économie numérique de 2004
prévoit aussi déjà, de façon générique, qu’un juge peut ordonner en
référé à tout hébergeur ou, à défaut, à tout opérateur de
télécommunication, de prendre « toutes mesures propres à prévenir un
dommage ou à faire cesser un dommage » causé par un contenu illicite3.
Cette prérogative, dont la portée est par ailleurs dangereusement vague
et large, couvre tant la suppression d’un contenu que le blocage d’un
site...Enfin, non content d’avoir distordu le débat public, le ciblage des
utilisateurs constitue en fin de course un outil de choix pour des
campagnes actives de propagande politique (la participation de Cambridge Analytica au Brexit et à l’élection de Trump en est un exemple alarmant). sic.
https://www.laquadrature.net/fr/macron_fake_news
** un site économique comme Contrepoints, également :
plutôt que d’engager une procédure juridique qui rétablirait la
vérité. Taxer une information de « Fake » offre ainsi aux États et à
leurs représentants deux usages qui sont pour le moins peu glorieux : 1)Disqualifier une information et son émetteur. 2)Ne pas passer dans un premier temps par la case juridique. Comme si
l’utilisation du mot magique « Fake news » était nécessaire et
suffisante pour jeter l’opprobre et le doute sur une information, en
attendant que l’information se noie dans le flux d’une époque à
informations continue. https://www.contrepoints.org/2018/01/08/306663-fake-news-alibi-censure-etatique