@Gasty
Il est vrai que les routes à deux fois deux voies stérilisent des surfaces agricoles considérables.
Mais elles augmentent considérablement la sécurité routière.
Et il ne faut pas oublier qu’une part importante des cultures sont consacrées à fournir l’alimentation du bétail. Une diminution de la consommation de viande bovine en faveur par exemple de viande de poulets (et de canards) permettrait de limiter la part de ces cultures fourragères.
On sait maintenant avec certitude que le sucre (maïs, betterave) le gluten des blés modernes, le lait (lactose) ne sont pas les meilleurs amis de la santé des gens. Or ces trois cultures occupent la majorité des terres emblavées.
Elles pourraient être remplacées avec des besoins de surfaces moindres par des légumineuses, et du maraîchage intelligent (cf. « Le jardin du paresseux »), des plantes consommées directement, sans transformation par les humains pour une meilleure santé.
D’autre part le réchauffement climatique et la grande puissance motrice des machine agricoles modernes permettraient de cultiver dans la moyenne montagne, une terre encore riche d’oligo-éléments et très peu polluées.
J’ai parlé d’élever intensivement les canards en plein air : il existe des zone qui furent des marécages. or les marécages sont les zones les plus productrices notamment pour la bio-énergie. On pourrait restaurer ces marécages et y associer l’élevage de poissons et de canards comme le font les asiatiques avec leurs rizières. la chair des poissons peu estimées pourrait servir à nourrir les poulets, oiseaux omnivores et non granivores.