Afin de ne pas tomber moi-même dans le piège d’un Triangle de Karpman je vais éviter de citer ici le nom de la personne à qui je m’adresse dans ce commentaire. Ceci n’est pas un déballage sur la place publique ; pas davantage un règlement de comptes : c’est une simple mise au point relative à une accusation. Et cette mise au point je la fais ici parce que je ne peux pas répondre sous un article de l’accusateur et je ne veut pas importuner l’auteur tiers de l’article sous lequel est parue ladite accusation.
@ la personne concernée :
Vous m’avez reproché ailleurs, que j’aurais prétendu connaître Racamier sans jamais l’avoir lu.
Je n’ai jamais critiqué Racamier (d’autres ne se sont pas gênés, il le dit lui-même), mais seulement vos interprétations et les digressions que vous avez développées sur Agoravox dans vos articles à répétition ; digressions que j’ai nommées vos hors piste. Nuance donc.
Pourquoi ai-je critiqué les interprétations d’un discours que je ne connaissais pas ? Hé bien parce que ces interprétations heurtaient ma connaissance du sujet traité et mon intelligence ; une connaissance que j’avais acquise bien avant à la lecture de l’ouvrage : Racamier n’a pas été le premier à avoir écrit sur ce sujet ne vous en déplaise. Et cela, je vous l’ai souvent dit. Quant aux hors pistes ...
Et ceci est tellement évident que j’ai à maintes reprises argumenté interprétation contre interprétation sur la base des copiés-collés du texte original de Racamier que je fournissais moi-même, et pour pointer sur pièces, vos contradictions et erreurs manifestes.
Et ceci est parfaitement vérifiable dans vos premiers articles sous lesquels je pouvais encore poster, le bouton de censure dont vous avez fait usage contre moi étant très récent. les écrits demeurent. Mon discours sur le sujet traité n’a jamais varié d’un iota, entre l’avant et l’après lecture de Racamier, sinon dans le sens d’un renforcement.
Ceci dit, je m’attache toujours à reconnaitre dans les nombreuses critiques adressées à des savants la différence entre celles qui visent leurs concepts et celles qui ne ne concernent que de mauvaises interprétations. Combien de personnes qui brandissent le livre noir de la psychanalyse ont-elles lu Freud dans le texte ? Combien de géotrouvetout ont-ils compris la relativité ? Combien d’anti-évolutionnistes ont-ils traité les ancêtre de Darwin de singes ?
J’évite généralement de tomber dans les pièges et les travers que je dénonce ; c’est le minimum que doit respecter un chercheur.
Personne n’a le droit de critiquer dieu ; tout le monde peut critiquer ses prophètes. Mais c’est toujours risqué ; Notre aventure ne prouve pas le contraire.