Bonjour Emile,
le travail, sujet important, en effet.
Car le travail d’aujourd’hui n’a plus rien à voir avec l’activité enrichissante que l’on appelait jadis « métier », et qui était un support d’épanouissement, et qui
« qualifiait » l’humain.
Ce n’est plus que l’acceptation d’être réduit au rang de petit rouage dans une grande machine, cad une soumission...
Pas seulement par besoin d’argent.
Petite question : pourquoi la condition de femme au foyer est-elle aujourd’hui vécue comme une brimade et une humiliation, véritable « dégradation » de celle qui en est la victime ?
Parce que le travail (on ne peux plus réel) à la maison ne serait fait que de corvées ? Voyons, pas plus que celui de caissière, de secrétaire ou de travail à la chaîne.
Tout le monde ne peux pas être médecin, avocate ou architecte...
Mais si vous le demandez aux femmes, beaucoup d’entre elle vous répondrons que c’est pour sortir de chez elles, pour exister, cad pour avoir un statut, et donc une identité ;
l’emploi aujourd’hui, ce n’est pas qu’un salaire, c’est aussi un satut, presque le droit d’exister : un chômeur éprouve cette souffrance du vide, cette impression de ne pas être à sa place, et souvent déprime, bien avant de manquer d’argent.
C’est en entreprise que « ça » se passe, et que l’on retrouve un milieu
à suivre