Selon l’OCDE, seul un immigré légal sur six viendrait en France pour travailler.

Allemagne : Des migrants refusent des emplois car « les invités de Merkel ne sont pas là pour travailler »

Traduction en français : ici.

L’immigration, c’est comme la mayonnaise. Quand elle a commencé à prendre, on peut ajouter beaucoup d’huile, mais peu à peu, en prenant soin de bien intégrer ce qu’on a ajouté avant d’en ajouter davantage. Sinon, on obtient un fluide innommable où l’huile et la mayonnaise restent séparés. 

C’est exactement ce qu’il est en train de se passer en France et dans le reste de l’UE. C’est le genre de situation qui conduira inévitablement à la guerre civile.

Les bonnes âmes nous racontent que les migrants payeront les pensions des vieux. Quelle blague ! La plupart n’ont aucune qualification et la France est en pleine période de chômage. Et si une reprise économique survient, les boulots répétitifs seront confiés à des robots. La plupart des migrants seront donc des assistés à vie et plomberont les caisses publiques au lieu de cotiser.

Mais le gouvernement a raison sur un point : les migrants résoudront le problème des pensions. Comment ? Tout simplement en venant égorger vos vieux chez eux pour s’emparer de leur biens et de leur domicile.

Les Européens sont en train de se faire rouler dans la farine. On fait appel à leurs bons sentiments et à leur générosité « chrétienne » pour installer des gens élevés dans une culture qui leur a appris à détester du fond de leurs tripes tout ce qui est occidental. C’est comme ça depuis le VIIe siècle. Au Moyen-Orient, des gens sont persécutés par les mahométans, et ce sont les persécuteurs mahométans que l’Europe accueille.

Il faut être réaliste : l’Europe ne peut pas accepter toute l’Afrique. Si tous les Africains préfèrent vivre sous une administration européenne, ne serait-il pas plus logique d’aller administrer ces pays et de les aider à se développer plutôt que de faire venir toute la population en Europe. Cela devrait évidemment se faire sous le pratronnage de l’ONU. Du travail, c’est en Afrique qu’il y en a. Tout y est à (re)faire.