Quant à moi, j’ai plusieurs fois réchappé de tentatives d’assassinat montées par mon alors-épouse. La baraka... Donc ces assassinats là ne sont pas dans les statistiques.
Les statistiques sur commande, j’ai du mal à continuer à les prendre au sérieux.
D’autres consommatrices éclairées ont hurlé leur rage que ces assassinats aient été loupés, et se sont vantées « Moi je ne t’aurais pas loupé ! ». Aucune narcissique ne supporte la moindre résistance à son despotisme...
De plus, les accusations mensongères bénéficient de la prescription au bout de trois ans. Les féminazies trouvent ce délai bien trop long et menaçant, et réclament trois mois au maximum avant prescription.
Prudentes et calculatrices, elles adorent les crimes parfaits. Par exemple, pour couvrir sa collègue la JAFe, le procureur de Besançon a fait passer en garde à vue les témoins gênants de l’élimination de Bernard P*rr*n, agriculteur, pour les intimider. Il m’aurait bien fait passer en garde à vue aussi, mais il s’est arrêté là quand il a constaté que les gendarmes ne le suivaient plus dans la mission terroriste qu’il leur avait confiée : eux aussi ont des morts dans leurs casernes, suicidés par le même gang en toges noires et jabots blancs.
—
Né dans le sérail misandre victimaire, j’en connais les turpitudes.
Les
morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu’à présent. Et cela,
les imposteurs et les tortionnaires ne me le pardonneront jamais.
Les imposteuses tortionnaires notamment.