@Ruut
Le Vélib c’est une émanation du Vélo’v de Lyon, qui est un concept ou le service libre service est couplé à l’utilisation des espaces publicitaires.
En gros Decaux prenait a sa charge la mise en place du système, reversait même une redevance à la mairie, en échange d’espaces publicitaires supplémentaires.
Et les collectivités de branquignoles comme la Mairie de Paris, on voulu le beurre et l’argent du beurre : plus de services et plus de « redevances ».
Le discours de la mairie de Paris depuis quelques mois est de se défausser sur le « prestataire ».
Si le projet avait été un succès on aurait vu tous les guignols de la mairie faire les beaux devant les caméras.
Sauf qu’il y a eu un appel d’offre. Des « chargés de missions », des « responsables de services », et des « élus », ont analysé le dossier avant de jugé que celui de Smovengo était meilleurs que celui de Decaux.
C’est là où on voit l’incompétence des décideurs sur ces dossiers : Decaux avait l’expérience du système qui était déjà basé sur un système préexistant, et un nouvel intervenant arrive, moins cher, avec aucune expérience, et on imagine que ca va marché tout seul.
Il faut que Smovengo soit éjecté, mais aussi les personnes qui ont attribué le dossier.