@orsatone. Calomniez ! Calomniez toujours !
Le risque est quasi-nul : en trois ans toute accusation mensongère est prescrite.
De toutes façons nous détenons tous les grands media, c’est nous qui façonnons les croyances de la populace (et des magistrates par la même occasion...) comme ça nous arrange, et organisons les guerres civiles comme ça nous arrange.
Passons aux choses sérieuses.
La totalité des intervenants d’obédience féminazie sous cet article présentent les mêmes pathologies et les mêmes symptômes :
* Totale incapacité à utiliser le pronom personnel « JE » suivi d’un verbe de ressenti.
* Absence totale de biographie et même de diachronie. Toutes leurs convictions et leurs réflexes conditionnés tombent du ciel, incréés et éternels.
* Se cramponner aux accusations et aux insultes contre son prochain, qui commet le délit d’être devenu incroyant. Zéro inhibition du cannibalisme.
* Zéro épreuve de réalité, incapacité à jamais passer par des phases de désillusion.
* Outre les flots d’insultes, déni total de l’humanité et des expériences de son prochain l’incroyant.
* Aucune cohérence interne, personnalité disloquée.
* Perpétuellement en exaltation maniaque. Dangereux pour autrui, voire pour eux-mêmes.
Pour d’autres peut-être, mais pour moi c’est tout sauf une surprise : le misandrisme victimaire est par construction une école de malveillance et de déni d’autrui. C’est bien pourquoi il est promu par des oligarques qui nous veulent du bien. Il sert à détruire de l’intérieur les peuples que ces super-prédateurs veulent dévorer facile.