Le mythe des Moires est inventé pour dire que le déterminisme n’entraîne pas le fatalisme.
Leibniz parle du poison avec lequel je dois tout faire pour qu’il ait bon goût. Le stoïcisme fait du bouddhisme : il y a une histoire de moine qui chutant d’une falaise, attrape avec son doigt le miel sur les pattes d’une abeille qu’il croise dans sa chute. Hegel parlera de non-déterminisme dans l’esprit. Mais l’immortalité inconsciente ressort en quelle névrose ? Le romain de Borgès psse le tps au supermarché des loisirs puisqu’il est immortel.
Remarquez que Platon a la solution aux Moires : le libre arbitre est un choix proposé aux âmes avant la naissance. En général les âmes choisissent une vie de consommateur tranquille de supermarché, où même d’animal, de « gogochon », ce concept de Labrune, pas de Jeanne d’Arc, qui dorénavant était une métis. Depardieu s’est proposé pour jouer Mandela.