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Commentaire de bob de lyon

sur Henri Salvador, la bonne humeur dans un siècle noir


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bob de lyon 27 février 2018 09:01

27/02/2018 08:49

 

D’abord, quand j’étais petit : « Une chanson douce… » ensuite ses solos de guitare – un excellent guitariste – puis tout le reste : Zorro, Syracuse, ...

Son rire, ses émissions de télé et puis vint ce que l’on ignorait et que, peut-être, on ne devrait jamais apprendre : les abandons, les petites crasse professionnelles, une vanité hypertrophiée, un ratiocineur de cachets, son (très mauvais) caractère… qui embrayent nos jugements intempestifs sur le bien, sur le mal.

Comme Rossi (Tino) qui flanqua à la porte l’auteur de Marinella revenu de déportation et qui venait lui demander un coup de main. Papa Noël en prenait un sacré coup sur le caillou.

Vaut mieux ne pas trop en savoir.


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