@lahalle

Les privilégiés n’aiment que eux et rien que eux et méprisent tous les autres a votre lecture...

Au non de quoi cette caricature méprisante sur les carrières des salariés du privé qui seraient plus incomplètes que celles des cheminots ? 

Les salariés du privé travaillent plus longtemps lorsque le nombre d’année est incomplet. Les années de chômage indemnisées sont comptabilisées dans les bases de calcul des salariés du privé.

On peut rappeler que jusque récemment les femmes cheminotes ultra-privilégiées avec 3 enfants complète avec seulement 15ans de service, les conducteurs de TGV partent à c’est dire si dans cette caste on voit la paille dans l’oeuil du voisin et pas la poutre dans la sienne.

Retraitées trop tôt avec nombre d’années incomplètes encore aujourd’hui a charge (encore un privilège) comme la retraite CPR SNCF dispinible dès 15ans de cotisation..sic !...

Pas sûr que l’affirmation méprisante comparée sur les durées d’indemnisation soit confirmée quand on voit ce genre de privilèges.

Déficit démographique :

il n’en reste pas moins que ce n’est pas a la société Française de payer pour des gens qui partent trop tôt, dans ce concept d’enculage des tous les autres pour ses grands privilèges indécents.

Quand a la cotisation de supplément, faut il vous rappeler qu’elle ne suffit pas et que le calcul de la retraite n’a rien a voir avec le secteur privé et le retraité actuel de la SNCF est un nanti a charge du Français Smicard.

Et la reprise hors sujet de mes propos expose ce que paye l’employeur. Vous oubliez qu’un employeur privé lui ne demande pas a la société de payer pour lui les cotisations sociales.

Pour payer un salaire fut il différé, il faut qu’il aie été assez alimenté de l’argent dans les caisses....

La misérable minable cotisation supplémentaire est bien entendu insuffisante pour compenser une balance comptable quelconque et dans sa vie jamais un cheminot n’a cotisé autant qu’un Smicard du privé en pourcentage, puisque dans cette caste ils ont le privilège d’être exonérés des cotisations chômage. (encore un privilège corporatiste)

L’agent SNCF refuse d’avouer l’évidence et aime bien se faire passer pour un misérable qu’il n’est pas.

Triste caste a vomir qui convoite d’être un rentier avec l’argent des autres dans un égoïsme assez affligeant

Triste corporatisme. Triste caste