@nono le simplet
Un peu simple, pour ne pas dire plus, de comparer Merkel à Adolph.
On remarquera déjà que Allemagne a ouverte ses portes en grand aux migrants, alors que les nazis les expulsaient, avant de les liquider.
On peut polémiquer, sans verser dans l’excès, car alors dans la caricature, le risque est grand de perdre tout crédit, ce qui est dommage, quand on a des points de vue qui méritent débat
La parenthèse nazie reste une traumatisme en Allemagne. pour les enfants des bourreaux. Ce peuple au moins a eu le courage de se confronter à son passé, et de ne pas l’arranger à sa manière.
Ce ’n’est pas le cas des polonais, dans cette triste affaire de négationnisme et d’arrangement avec le passé dont on ne parle pas ici, qui est de nier la participation au crime. Un mérite à la bétise des dirigeants : Ils ramènent la mémoire en la niant....
Ce n’est pas le cas en Espagne, qui n’a jamais fait le procès du franquiste, lui permettant de toujours rouler en roue libre, comme cette triste affaire de bébés volés à leurs parents légitimes, qui fut institué envers les familles républicaines, et qu’on continua jusqu’aux abords de ce millénaire.
Comme pour un homme, le passé nié finit toujours par remonter. Quand ce n’est pas sur un divan ce sera dans la répétition. La crise catalane est une expression là aussi d’un passé non expurgé.