@Alren
Rien à ajouter sinon que l’agriculture productiviste mobilise en Europe de la terre pour la production de denrées que la médecine considère comme plutôt mauvaises pour la santé :
- le sucre (betteraves à sucre) qui est cancérigène et provoque obésité et maladies cardiovasculaires.
- le lait, particulièrement le lait de vache, qui ne convient ni aux nourrissons ni aux adultes. Les vaches de l’agriculture productiviste sont gavées de substances médicamenteuses qui se retrouvent dans le lait. Certains expliquent ainsi que la taille des jeunes d’aujourd’hui est en forte augmentation du fait qu’ils absorbent des hormones de croissance qu’on a fait ingurgiter aux vaches pour qu’elles produisent davantage.
Si le beurre et le fromage fermenté ont un intérêt, le volume de leur consommation avec leurs graisses saturées est excessif dans l’alimentation actuelle. De plus pour obtenir ce lait, il faut que les vaches enchaînent les vêlages d’où une production de viande bovine excédentaire par rapport aux besoins de la diététique : on incite ainsi les gens à manger trop de viande.
- le blé « moderne » trop riche en gluten, mais ainsi plus facile à panifier rapidement par la boulangerie industrielle, un gluten de plus qui semble différent de celui d’autrefois et qui provoque des intolérances visibles et des irritations plus discrètes du tube digestif.
Ce blé est aussi utilisé pour la nourriture de « fermes de mille vaches », allant ainsi à l’encontre de l’alimentation naturelle de ces ruminants qui est l’herbe et ses plantes variées.
Mais le grand crime contre l’humanité de l’agriculture chimique, c’est d’introduire dans le circuit de l’alimentation les perturbateurs endocriniens que la revue scientifique La Recherche, dans son numéro de ce mois de mars, présente comme endommageant le cerveau !
On les soupçonnait, avec de fortes raisons, de provoquer des cancers, mais ils pourraient aussi être la cause de cette baisse de l’intelligence moyenne constatée dans la nouvelle génération !
L’agriculture ne manque pas de terres en France si nous prospectons les zones de moyenne montagne pour y cultiver des légumineuses riches en protéines végétales.
Ce que l’on ne pouvait pas faire en cultivant avec des chevaux, on peut le réussir aujourd’hui avec le matériel moderne et de nouvelles techniques qui se passent de labour.
Et pour nourrir l’humanité je ne parle pas des cultures d’algues et de récupérer des protéines en élevant des insectes etc.