@Layly Victor. Nonante ans de propagande hégémonique ont produit un sacré désastre dans la tête de ceux qui croivent la communauté hégémonique.
Cette croyance corpusculariste et hégémonique a fait prédire par Landau et Lifchitz qu’un électron est un jeune chien fou, patrouillant en tous sens.
Pas de chance ! L’expérience ne confirme pas. Bien au contraire.
La croyance hégémonique a exigé de chaque étudiant qu’il confonde les propriétés d’une foule d’électrons (ou photons, ou toute autre « particule ») avec celles d’un seul individu. Bien sûr, les résultats expérimentaux protestent, mais on assomme les étudiants d’un « Taisez vous et calculez avec le principe de cruelle incertitude de l’immortel Prophète ! ».
Exemple de ce que dessinent les sommités au dessus de tout soupçon :
Et Greiner avait publié les mêmes sottises avant eux.
Le médiatiquement immortel Stephen Hawking avait publié qu’un électron entre le canon à électrons et l’écran ou le microchip à graver, prend le temps d’aller explorer jusqu’au delà de la planète Jupiter.
Quant à Linus Pauling et Bright Wilson Jr. dans leur emballement corpusculariste, ils sont allés jusqu’à réécrire la loi de Bragg en corpusculaire, mais à condition que l’impulsion linéaire soit quantifiée... ce qui ne résiste à aucun changement de repère, et a toujours été infirmé par l’expérience.
Toujours les effets psychotoxiques de la propagande hégémonique : Layly Victor a accusé « Monsieur Lavau fait partie des gens qui veulent donner une explication mécaniste aux théories physiques ». C’est le délire complet, mais le délire à la mode dans la tribu. La tribu ne s’occupe vraiment que d’une seule chose : défendre les frontières de son territoire contre les incroyants.
perpétrés par Niels Bohr il y a nonante et un ans et nonante ans, bien sûr Layly Victor a déjà oublié qu’un électron a aussi deux fréquences intrinsèques qui jouent deux rôles majeurs en quantique : la fréquence de Broglie mc²/h, et la fréquence Dirac-Schrödinger 2 mc²/h. Faire de l’optique électronique en l’oubliant, c’est de la grosse merde.
Cet éditeur en ligne d’Agoravox est sévèrement bogué et épuisant, alors je coupe court.