@SPQR Sono Pazzi Questi Romani
"Quant aux représailles, elles sont indispensables, elles doivent
être sans discussion, sur le sol français et sur l’ensemble de la
nébuleuse djihadiste.
La rétorsion progressive doit être appliquée au centuple, elle doit toucher tous les acteurs de ce milieu, directe ou indirecte.«
Effectivement.
Cela devrait commencer par une arrestation et une répression de tous les éléments »actifs« de la Cité Ozanam (pauvre Ozanam...), sympathisants de l’assassin du Lt-Col. Beltrand.
https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/terrorisme/attaques-terroristes-dans-l-aude/attaques-dans-l-aude-des-journalistes-agresses-dans-la-cite-de-carcassonne-ou-vivait-radouane-lakdim_2672276.html
»Plusieurs équipes de journalistes se sont rendues samedi 24 mars au matin dans la cité Ozanam, à Carcassonne, où vivait Radouane Lakdim, le terroriste qui a perpétré les attaques dans l’Aude la veille, faisant quatre morts et quinze blessés.
Sur place, la situation était très tendue. Dans un reportage diffusé
samedi midi, on voit deux journalistes de France 3 Occitanie se faire
agresser par des jeunes du quartier, dont l’un lui lance : « Casse-toi, casse-toi je vais t’éclater ».
Yann Bouchez, journaliste au Monde, fait part sur Twitter des menaces qu’il a subies de la part de « deux jeunes en voiture ». L’un d’eux lui aurait lancé : « T’es journaliste ? Barre-toi d’ici ou je te casse les jambes. »
Cité
Ozanam, à Carcassonne. Deux jeunes en voiture font le guet. L’un
s’arrête à ma hauteur, alors que je marche : « T’es journaliste ?Barre
toi d’ici ou je te casse les jambes ». Et il entrouvre la porte...
Regard haineux. Toutes les issues sont contrôlées. Impossible d’y rester
— yann bouchez (@y_bouchez) 24 mars 2018
Alors
qu’ils discutaient avec des habitants du quartier, les journalistes de
France 3, BFMTV et d’une télévision suisse-italienne ont également été
violemment pris à partie par deux jeunes hommes, d’après un témoignage
similaire de Marc Dana, journaliste à France 3. « Ils ont commencé à nous bousculer et à prendre nos pieds de caméras en les lançant sur nous »,
explique-t-il à franceinfo. Quelques minutes après, ils sont revenus à
la charge en s’en prenant plus particulièrement à l’équipe de la
télévision suisse-Italienne, qu’ils ont frappée. Marc Dana parle à
franceinfo d’une « très vive altercation ».
« Ils voulaient nous faire fuir »
Les
journalistes ont alors tenté de quitter les lieux au plus vite,
d’autant que les deux jeunes se sont mis à les poursuivre à bord d’un
véhicule, tout autour de la cité. « Ils voulaient nous faire fuir »,
constate Marc Dana. Il n’y aurait aucun blessé d’après lui, même s’il a
constaté que l’un des journalistes italo-suisses semblait souffrir des
jambes après avoir été frappé. « C’était vraiment très tendu », raconte-t-il à franceinfo.
Interrogée par France 3 Occitanie, une retraitée habitant dans ce petit quartier sensible témoigne : "C’est une minorité qui pourrit le quartier, ils ont pris le pouvoir.