pemile 29 mars 11:10
@JL « Peut-être une bonne âme qui s’en
souvient, se dévouera-t-elle ? »
Le premier serait là https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/comment-reconnaitre-un-pervers-128503#forum3593208
pemile 29 mars 11:18
@Philippe VERGNES « Car
voilà ce qui serait intéressant et prouverait probablement votre harcèlement
sans même avoir à argumenter outre mesure. Mais rassurez-vous, vous m’en avez
donné l’idée (vous voyez, je sais être reconnaissant). Je vais m’y lancer ! »
Ce qui est condamnable dans le harcèlement, c’est la
souffrance générée. Dans le cas ici présent, il semble plutôt que vous affichez
un « certain » contentement voir même du plaisir à tenter de « coincer »
votre « harceleur » ?
pemile 29 mars 11:35
@Shawford « sans
agir effectivement »
La justice a autre chose à faire, non ?
Continuons dans un principe pseudo scientifique de jugement
par des pairs ?
Il me semble que PV en a fait l’appel plusieurs fois, « pourquoi
personne sur AV ne réagit depuis 6 ans » ou quelque chose de ce genre, non ?
Nous sommes plusieurs à avoir mis notre grain de sel dans
cette « histoire », transformons cette saison 6 en téléréalité
participative ?
=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=
Je plussoie la proposition de Shawford approuvée par pémile
(« Continuons dans un principe pseudo scientifique de jugement par des
pairs ? ») et je réponds au trois commentaires de pemile en lien ci-dessus (en espérant qu’ils fonctionnent). JL est bien entendu libre d’intervenir sous cet article pour nous faire part de son point de vue.
Dans tout « procès », il faut des avocats pour
chacune des deux parties et la recherche de la vérité, tant pour JL que pour
moi, en passe à mon sens par cette recherche de « juste milieu »,
chacun a donc bien son rôle dans ce débat qui risque d’être plus animé encore
que la saison 6 d’une teléréalité participative. Les premières ont eu leur
public… qui est passé à autre chose et c’est tant mieux.
J’ai donc débloqué JL, et je réponds donc ici aux objections
et aux interrogations de pemile tout en appréciant qu’il puisse mettre le
conditionnel dans ses propos.
La justice a effectivement autre chose à faire (je
répondrais plus tard à Shawford sur ce point et qui à mon sens n’est pas du
tout infondé).
Une précision cependant, lorsque je parle de harcèlement, je
ne réduis pas cette problématique à ma petite personne, car je prends ces
affaires sont très, très, très au sérieux. Pour moi, il y a meurtre d’âme… ou
selon les cas : tentative de meurtre d’âme. J’expliquerais pourquoi si on me
le demande.
Sur la question de la souffrance dans le harcèlement comme
condition nécessaire à sa condamnation : non (mais c’est un poil plus
complexe) ! Il suffit que la dignité de la personne soit attaquée dans le
cadre de ses activités : je suis consultant « multicarte » et l’une
de ces cartes est justement pour moi de monter des dossiers de pièces à
conviction pour démontrer le bienfondé d’un harcèlement devant un tribunal. C’est-à-dire
que j’offre des prestations de services à des cabinets d’avocats pour « bétonner »
des dossiers de défenses. Et puisque certains aiment les chiffres, jusqu’à
présent j’en ai monté quatre (c’est une démarche très longue, grosso modo de
trois à cinq ans) : tous gagnés, jamais un seul dossier à monter pour
moi-même.
Passons maintenant au gros du morceau et à l’accusation de
JL. Que dit JL tout en me traitant de menteur par la suite sans en apporter la moindre
preuve (qui sera apportée, au conditionnel, par pemile) ?
Cette histoire de procès sur ce fil de discussion est partie
du commentaire de JL 29
mars 08:20 qui, reprenant un message (sur lequel, je reviendrais
probablement plus tard) que j’ai eu avec kalachnikov à propos du « ciseau »
de ce site, déclare : « Vous
mentez, PV : crever l’abcès comme vous dites, vous avez plusieurs fois
tenté de le faire depuis que vous avez compris que je ne me soumettrai pas,
c’est-à-dire depuis bien des années maintenant. Si nous en sommes encore là
dans quelques jours j’irai chercher les preuves que vous avez déclaré à plusieurs reprises avoir engagé des poursuites
judiciaires à mon encontre. » (En gras les propos de JL, en
italique, c’est moi qui souligne.)
Je reprends ici la phrase en italique, selon JL j’aurais « déclaré à plusieurs reprises avoir
engagé des poursuites judiciaires à mon encontre ». Or, comme je l’indique
à Self con troll, PV , si tel avait été le cas, je connaîtrais l’identité de JL
indépendamment du résultat du procès (qui n’est jamais acquis d’avance dans les
cas de harcèlement) ET par ailleurs, j’y déclare même que je n’ai jamais caché
mon intention de porter plainte contre JL. Ainsi, « déclarer à plusieurs reprises avoir engagé des poursuites judiciaires »
à l’encontre de JL n’est que pure affabulation. Il ne s’agit pas de jouer sur
les mots, car dans ce genre d’affaire, les mots ont une importance considérable
dans
le contexte de leur énonciation (cette omission permanente du contexte
est ce qui fait que JL affabule tout le temps).
Je rappelle donc le contexte : le message trouvé par
pemile (ils y en a plusieurs de ce genre sous mes articles) ont été envoyé à JL
dans le contexte d’une longue suite d’agression verbale diffamatoire à mon
encontre où, si mes souvenirs sont bons (je ne vérifie même pas), j’ai d’abord
posé des limites à JL qu’il n’a eu de cesse d’outrepassées… en bout de course :
le message trouvé par pemile.
Sur la nature du message maintenant, un peu de réflexion ne
fera pas de mal : quelle est donc la nature de mon message ? Quelle
est celle du recours envisagé alors ? Quels en sont les délais de recours ?
Si, comme JL le soutient, j’avais engagé des poursuites à son encontre, je
connaîtrais son état civil en personne. Or, ce n’est toujours pas le cas à ce
jour.
Prenons le pire des cas, j’ai menacé JL d’un recours en
justice alors que je souhaitais plutôt lui mettre des limites pour qu’il me
lâche la grappe espérant ne pas avoir à en arriver à une telle issue… mais
passons. J’ai menacé JL, s’il avait perçu une telle menace il aurait dû m’écrire :
« vous m’avez menacé à plusieurs reprises… ». Ce que je n’aurais pas
démenti, car il y a une nuance très importante entre le faire et l’intention de
faire. À ce que je sache, personne n’a jamais encore été condamné à quoi que ce
soit pour des intentions sans passage à l’acte (car ça, c’est de la dictature).
Par contre, s’il y acte, on en cherche alors l’intention sous-jacente. Pas l’inverse !
Cette accusation inverse est la caractéristique de la
défense de JL. C’est une constante dans toutes ces interventions dès que l’on
rentre dans un débat technique.