@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Ces subtilités malicieuses, où la pensée de Bataille et de Sade fut mit en bocaux de verre, à la cave avec de bonnes cerises à l’eau de vie, par notre bon docteur Freud, échappèrent totalement aux nazis, à la sexualité primaire, un fusil baïonnette leur servant de sexe, homosexuels d’occasion qui fait le larron. L’immense majorité des nazis ne furent même pas des paranoïaques, encore moins des malades psychotiques. Juste des bœufs, mais avec une queue, et un cervelet en guise de cerveau. Voilà le portrait du monstre, une hérésie, l’homme nouveau pour mille ans. Einstein disait que cela suffisait pour marcher au pas ; Il disait aussi qu’il y a deux choses sûres en ce monde : L’infini de l’espace, et celle de la connerie humaine. Mais pour l’espace, il n’en était pas tout à fait sûr....Voilà l intelligence artificielle qui pointe le bout de son nez. Je ne dirais pas son sexe. Quelquefois, en lisant les commentaires, je me dis que cela ne peut être pire.
Pour Sartre moi ce que je préfère, c’est « l’être et le néant »
Sa conception de soi par le tiers du regard de l’autre...pas encore automatisé à l’époque.
“S’il y a un Autre, quel qu’il soit, où qu’il soit, quels que soient ses rapports avec moi… J’ai un dehors, j’ai une nature ; ma chute originelle c’est l’existence de l’autre”
L’enfer c’est les autres. « Pourquoi ? Parce que les autres sont, au fond, ce qu’il y a de plus important en nous-mêmes, pour notre propre connaissance de nous-mêmes. Quand nous pensons sur nous, quand nous essayons de nous connaître, au fond nous usons des connaissances que les autres ont déjà sur nous, nous nous jugeons avec les moyens que les autres ont — nous ont donnés — de nous juger. Quoi que je dise sur moi, toujours le jugement d’autrui entre dedans. Quoi que je sente de moi, le jugement d’autrui entre dedans. »