@ Bonjour Self con troll,
« C’est la trêve pascale, je parlerai à PIPO demain. Il reste un pseudo pour moi, mais je l’ai très peu cherché sur le site d’A.Bilheran et le vôtre. »
Passer de bonnes fêtes pascales…
Sur l’attitude de la direction d’Avox ?
C’est scotchant en effet et compte tenu des nombreux messages que j’ai pu envoyer leur demandant de ne pas négliger ce phénomène, leur silence me laisse dés plus perplexes… mais je n’ai pas envie de me prendre la tête pour ça. On verra bien ce qu’il en est. J’ai pas l’habitude de tirer des plans sur la comète. À cette heure-ci, je n’ai toujours pas pris de décision, mais ce qui a évolué c’est que je pense avoir trouvé une solution.
« Ce serait une drôle de voie pour secouer le cocotier de la sécurité de nos données personnelles que ce procès en cyber harcèlement dont vous menacez votre copsy. Notre Etat français a négligé cela depuis si longtemps. Même pas sûr que les RG soient à la hauteur. »
Vous pouvez préciser votre pensée… j’suis pas sûr d’avoir tout compris.
Sur la question des preuves, c’est très simple : lorsque je dis qu’un tel est un menteur, c’est que j’ai la preuve, capture d’écran à l’appui, du mensonge pour lequel j’accuse quelqu’un. Idem pour imposteur, calomniateur, diffamateur, etc.
Je n’ai pas vu votre question au regard de PIPO comme étant perverse. La perversion, ce n’est pas ça (cf. plus bas l’explication des rôles de chacun dans ce type de situation). Il est tout à fait normal et souhaitable de lever tous doutes ou confusion qui se seraient installés. Mais cela ne peut se faire qu’en acceptant la discussion et non pas en foutant sa merde pour ensuite se débiner dès que les choses deviennent vraiment sérieuses.
Pour l’épisode Io, pas de provocation, un « montage de bourrichons » à plusieurs avec son chef d’orchestre… qui généralement s’éclipse lorsque les choses tournent au vinaigre.
Ne vous inquiétez plus de rien, je pense avoir trouvé la solution… involontairement (« synchronistiquement » devrais-je dire) grâce à Shawford. Mon principal problème étant peut-être un peu trop franc du collier, je vous dis que j’appréciais chez vous votre sens de la mesure, même si vous ne résistez pas parfois à frôler les limites, et je le pense, sinon, je n’aurais rien dit de tel. La flagornerie, c’est bon pour ceux qui aime le contrôle et le pouvoir, moi j’aime ma liberté et plutôt crever que de la perdre.
Un tout petit résumé des rôles de chacun dans ces jeux de pouvoir qui sont mis en place lors en pareil cas. Vous vous ferez votre propre analyse et en déduirez ce que bon vous semble. Je ne l’ai fait que parce que j’avais noté votre intérêt sur ces questions-là :
« L’auteur d’une attaque perverse s’autorise abusivement d’un jugement qu’il infère, selon le cas, d’une idéologie commune, dominante ou majoritaire, ou de la loi, alors qu’il est en train de la bafouer, mentant et manipulant l’idéologie sans aucun scrupule, sous couvert d’un idéal. Ce « juge » s’identifie à un être suprême, externe et indiscutable, ou, il s’en présente comme le simple interprète. Par ce stratagème verbal, il fait endosser à une instance externe et supérieure les énoncés qu’il émet par sa bouche. En s’autorisant ainsi d’un ordre supérieur et d’un universel qui ne souffre aucune discussion, aucun contrôle, le disqualificateur s’exonère de toute intolérance ou de toute responsabilité personnelle, en tant que sujet désirant. […] Un grand Narcisse de société sait utiliser les parts psychotiques d’autrui, celles qui fuient la réalité et qui, mise en résonnance, produisent des groupes délirants. […] L’arme favorite des grands pervers de société est la disqualification nihiliste ou perverse. […] L’attaque [perverse] ne repose sur rien de tangible, ce qui montre qu’elle est le produit d’une contrainte interne inactuelle sans rapport avec les données récentes ou actuelles. (D’où l’impérieuse nécessité d’en rester au factuel ou d’y faire retour… or, c’est justement lorsqu’on lui impose un tel cadre que les manœuvres perverses et la manipulation apparaissent.) Pour mener cette attaque, il vise d’abord les personnes qui font le plus lien. (Il les « amadoue », soit pour s’en servir de « caution », soit en les prenant pour cible.) La proie (victime, cible ou ennemie) centrale à juguler en premier est celle qui fait tiers et incarne, plus que d’autres dans une instance sociale, les liens, la centration sur la tâche, la loi. Il s’agit de l’annihiler et non de la détruire, l’un des buts étant la jouissance perverse que fournit le spectacle de la mise dans l’impuissance du tiers avec la participation aveugle du plus grand nombre de complices assujettis, actifs ou passifs dûment manipulés.
Plusieurs places dans ses configurations groupales : d’abord celle exclusive d’artisan de la résonnance et de l’alliance, celle des complices, celle d’otage et bien sûr celle de victime, proie, cible ou ennemi.
Il y trois types de complices possibles :
· l’auxiliaire actif,
· le complice conscient non véritablement consentant, impuissant qui reste là, alors qu’il pourrait partir,
· le complice inconscient ou naïf qui ne comprend pas ce qui se passe.
Si les complices conscients ou inconscients, mais refusant plus ou moins confusément, ne peuvent ni intervenir pour changer la situation ni la fuir, alors qu’ils souhaiteraient le faire, ils occupent une autre place, celle d’otage, ce qui les rapproche de ceux qui sont pris pour cible.
Enfin et précisément il y a la place de cible, de victime, d’ennemi ou encore de proie, à la merci du groupe devenu prédateur, derrière lequel se dissimule l’artisan. »
Bonne lecture et bonnes fêtes de Pâques.
08/04 10:07 - Philippe VERGNES
@ pemile, Merci de m’y avoir fait penser et également merci aux administrateurs pour (...)
07/04 21:05 - Xenozoid
07/04 21:03 - pemile
@Philippe VERGNES « ces italiques sont chiantes » Demandez la suppression (ou la correction) (...)
07/04 16:43 - Philippe VERGNES
@ Self con troll, Ma réponse en deux messages PV 7 avril 16:41. (Un peu trop chiant ces (...)
07/04 14:24 - Philippe VERGNES
@ Self con troll, Bon... ces italiques sont chiantes et ne me permettent pas de répondre (...)
07/04 14:19 - Philippe VERGNES
@Philippe VERGNES, (Re-essai...) errarre humanum est, perseverare diabolicum.
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