Cela contribue à la communautarisation americanisante de la France. Comme la bordelisation délibérée de l’école publique. C’est un peu le « casse toi riche con » de la niche sociologique qui alimente toutes les gauches. Les gens qui croient à la formation pour leur gosse, fuient dans le privé ou manipulent la carte scolaire au niveau ecole. Aujourd’hui, comme dans un pays anglophone saxon, on peut reconnaître de quel système bien un gosse, à la qualité de son francais...Trouvent grandes écoles, des facs sélectives pour sauver leurs gosses, pendant que ceux des classes moyennes —, du peuple, des pauvres, échouent dans des dépotoirs éducatifs, dont la vocation est de fournir des emplois à ceux qui n’ont d’autre choix que de devenir prof. On pourrait donc comprendre une exaspération des élèves de fac. Le problème est qu’ils ne semblent pas comprendre que les idéologies de gauche encouragent délibérément ces injustices et gaspillage à leur détriment. On en fait délibérément des ratés, pour alimenter les rangs des dépendants contestataires. Les facs gauchistes, conformément aux hypothèses de Bourdieu, font dans la reproduction sociale. Elle produisent des profs médiocres et des ratés diplômés, oui, mais bien pensant. Les droites devraient faire quelque chose, mais ils sont trop fort pour nous. Il faut donc sauver les gamins sauvables. En commençant par les siens. C’est pourquoi protestants, catholiques, juifs, et maintenant musulmans, se remettent à créer des écoles. Évidemment, le résultat sera une société démembrée, désarticulée. Ce que veulent au fond ces gens. Les élites bien formées viendront de chez nous. On le voit bien avec les classements des lycées. C’est vrai aussi dans le supérieur. À Normal Sup. dans l’année de ma fille, et malgré les jury tandancieux la meilleure venait de chez les cathos. Elle n’était pas seule.