@eric
Bonjour et merci pour votre question à laquelle je réponds ci-après :
Qui suis-je ?
Un citoyen particulièrement attentif au respect de cette Constitution que vous évoquez et qu’il appartient au président de la République - lequel en est le gardien - de respecter en toutes ses dispositions, notamment cellles de l’article 68, que je vous invite à lire ou à relire.
Un président de la République, chef d’un Etat qui est statutairement membre du Conseil de Sécurité des nations Unies et qui plus que quiconque se doit de respecter la Charte des Nations Unies et ce principe premier qui est celui de la souveraineté nationale à laquelle je suis particulièrement attaché, principe qui devrait nous interdire de déclarer la guerre à un pays même si son dirigeant ne nous plaît pas.
Pour dire les choses clairement, le Chef de l’Etat a rejoint un club de voyous internationaux et a, par son comportement et ses agissements dont on est en train de réaliser qu’ils ont été motivés et conduits sur la base de preuves fallacieuses, littéralement « emplafonné » la Constitution et le Droit international.
Quant à vos supputations sur le suffrage que vous m’imputez en faveur de tel ou tel candidat (vous devriez me lire plus attentivement), je n’ai pas de temps à perdre à m’intéresser à des tocard(es) politiques, des gens qui seraient remerciés au bout de quinze jours pour insuffisance professionnelle dans n’importe quelle entreprise, gens qui font profession de politique et qui font partie d’un monde révolu et dont l’engagement politique n’est motivé que par une seule chose : le dur désir de durer.
Faites-vous à l’idée que la position actuelle du chef de l’Etat est plus que fragile et n’impressionne que ses courtisans, d’autres l’ayant percé à jour tels le député belge Philippe Lamberts ou le député portugais Marisa Matias qui l’a qualifié de « petit Napoléon »...
Bien à vous,
Renaud Bouchard