@Ar zen
Il n’est pas légal parce qu’il propose un programme, il est légitime parce qu’il reflète la volonté d’hommes et de femmes qui n’ont plus l’intention de se laisser mener à l’abattoir par les larbins d’une oligarchie dont le plan consiste à se débarrasser de 90% de l’humanité et de transformer la planète en un enfer concentrationnaire à ciel ouvert où tout ceux qui ne se plieront pas seront éliminés sans aucune autre forme de procès.
"« Etat policier », « despotisme doux », « césarisme » : juristes,
avocats et grandes organisations de défense des droits humains
critiquent très sévèrement le projet de loi sur la sécurité intérieure
et la lutte contre le terrorisme, qui doit être votée à l’Assemblée
nationale, la semaine prochaine. Remplaçant l’état d’urgence qui arrive à
expiration, cette loi en prolonge plusieurs dispositions très
controversées, banalise l’arbitraire, et autorise même le recours à des
polices privées sur la voie publique. A croire que, bien au-delà de la
lutte anti-terroriste, c’est toute forme de contestation de l’ordre
établi qui pourrait être visée.«
https://www.bastamag.net/Comment-la-France-s-apprete-a-devenir-un-Etat-policier-ou-chacun-est-transforme
Sans doute ont-ils été inspirés par la citation de Bertolt Brecht
»Celui qui lutte peut perdre, mais celui qui ne lutte pas a déjà perdu ..«
Un conseil national de transition est un outil juridique reconnu par le droit international utilisé dans de nombreux pays et à mauvais escient comme dans le cas de monsieur Sarközy de Nagy Bocsa, ex-président républicain pour organiser le coup d’état contre le colonel Khadafi en
Libye.
Par conséquent, il est tout aussi légal au niveau du droit international en France qu’il l’a été ailleurs. Et à moins d’être adepte de la maxime »un poids deux mesures" , si la volonté d’un collectif de français faisant partie de ceux qui ont voté non au referendum de 2005 les a conduits à opter pour cette solution d’organiser une transition vers un nouveau régime en France, elle est tout à fait légitime et qui plus est, conforme à l’article 35 de la déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui figure en préambule de la constitution française et fut adoptée en 1948 par l’ONU.