@doctorix
« c’est bien trop compliqué. »
Non, c’est très simple et résumé en quelques lignes.
Il y a d’une part :
- la DDHC de 1789 qui reconnaît les droits naturels (inaliénables et imprescriptibles), inhérents à l’Humanité tout entière d’un côté :
Les Droits exposés dans cette Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen sont
reconnus par les représentants du peuple français : "l’Assemblée nationale
reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de
l’Être Suprême, les droits suivants de l’homme et du citoyen."
La portée historique de cette déclaration est le fait unique dans l’histoire humaine que ces droits ne sont pas
promulgués par le pouvoir mais reconnus par
lui. Le pouvoir temporel se place donc dans un état de sujetion,
d’obéissance, de dépendance par rapport à des Droits dit
« naturels » qui sont antérieurs à toute législation.
Il semble, à en voir la situation délétère en France et ailleurs que "L’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme
sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des
Gouvernements".
Et de l’autre :
-Les règlements, statuts et autres dispositions émanant du droit commercial tel qu’il
s’applique aux corporations (républiques, européennes, régionales....) qui sont des personnes morales de droit public (Res publica).
Or, la mystification qu’emploient ces chefs de corporations ou dits chefs d’états (PDG dirigés et contrôlés par la City de Londres qui règlementent leurs corporations respectives) consiste à faire CROIRE qu’ils sont les chefs d’une nation,ce qu’eux-mêmes bien évidemment ne revendiqueront jamais, connaissant parfaitement la limite infranchissable consistant à officialiser le fait qu’ils utilisent la PERSONNE MORALE dont chaque être humain est titulaire pour les soumettre par ce biais à leurs lois (commerciales).