« Mais je m’offusque (car c’est mon droit en fait) des caricatures et des raccourcis bien arrangeants pour certains »
lesquels ?
Bon. Tu as écris par exemple (je vais pas me taper non plus tout l’historique de tes interventions sur Avox pour en extraire les perles) :
« les villages de campagne ont toujours été deux fois plus pauvre »
Déjà ce genre de comparaison brute sans rien… c’est chaud.
Quels villages ? De quelle campagne ?
Et 2 X plus pauvre que quoi, que qui ? Tu compares des poules et des patates.
Et ce n’est basé sur rien.
Ca pourrait être intéressant de connaitre en effet les disparités et surtout la façon dont les subventions sont utilisées mais là.. ta déclaration laisse à désirer.
Dans le même commentaire tu as aussi dis :
« avec encore moins de flics sauf pour les bourgeois »
Pareil… Quels types de flics (quelles formations en l’occurence)… Moins de combien ? Quelle est la densité de population ?
Toujours dans le même com :
« les voitures ne sont pas incendiées.
les seuls coins ou ça arrive, c’est dans les petites villes avec des HLM et des délinquants importés des villes »
Et ca arrive souvent ? Ou bien c’est à chaque Saint Glin-Glin ?
Tu vois cette sale race qu’on appelle les humains ? Ils changent de comportement lorsque certaines conditions sont regroupées, quoi que tu en penses.
Si tu les entasses bien, que tu réduis leur mobilité, que tu promeus un abrutissement généralisé (et donc qui va même au-delà de la zone urbaine et périurbaine hein, c’est national, voire mondial), que tu y places tous les « business » parallèles nécessaires au « bien-être » des « bourgeois » alentours, que tu brises la relation déjà ténue entre les forces de l’ordre et les habitants, que tu répands la discorde entre tous les « baisés pour compte du pays »… Tu mélanges le tout en utilisant comme récipient les cerveaux de gens n’y vivant pas ou plus depuis longtemps (dans les quartiers que tu diabolises mais que tu ne cites jamais car on pourrait sortir des chiffres et surtout voir comment c’est réellement géré et donc comparer du concret) bref regroupe tout cela et tu as une bonne mayonnaise bien pourrie prête à péter n’importe quand ou presque, mais surtout surtout : si besoin ( ! ). Mais jouer avec le feu au milieu des broussailles en période de grand vent… bon…
. . .