nous vivons sous le mode de production capitaliste à son stade ultime - impérialiste
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@Robert Bibeau
Fort heureusement, le capitalisme porte en lui-même les germes de sa propre destruction, son dépérissement est inévitable puisque Karl Marx l’avait prévu. Ce système pourri et obscurantiste, qui a toujours été le premier obstacle au progrès des lumières et des sciences comme au progrès de ces techniques qui seraient susceptibles d ’affranchir l’homme des contraintes que la nature lui impose si on les laissait se développer, a commencé à contaminer l’ Europe en commençant par les cités italiennes et les villes hanséatiques, vers le XIVe siècle. Il faut dire que c’’était l’époque de la grande peste -sinistre présage !-, et il y aura bientôt sept siècles. Comme le temps passe !
Si on compare ce système pourri en pleine décrépitude à celui qui a surgi miraculeusement dès la révolution d’occtobre 17, on voit bien que le communisme est en passe, enfin, de gagner la partie et d’étendre partout ses bienfaits sur la planète. Il rayonne plus que jamais à Cuba comme en Chine, comme au Kampuchea démocratique et en Union soviétique, et c’est bien le signe que nous ne tarderons pas à être enfin débarrassés de l’exploitation de l’homme par l’homme.
Parce que c’est bien cela, le capitalisme : l’exploitation de l’homme par l’homme. Je le redis parce qu’on ne le répètera jamais assez. Le communisme, c’est exactement le contraire, et il suffit de permuter les deux termes ce cette proposition pour le comprendre enfin.
Certains parfaits salauds réactionnaires, sur ce site, ne voudront jamais le comprendre, ou bien ce sera trop tard. Tant pis pour eux.