Car si l’Humanité existe c’est que l’homme est indifférencié, formaté, le bobo bien rond, bien lisse, du dernier sable mondial, sans culture original (sinon il y a compétition entre différents identifiés, 2 quartiers de colonie par ex... où 2 groupes de voleurs financiers bobos concurrents). Et on retombe sur l’enfer de la totalisation précédemment décrit par Arendt où Levi-Strauss
L’instinct de compétition de l’humain ne trouve plus d’entraide abstraite politique particulière pour le sublimer, puisque ne reste que les individus mondialisés, et que être solidaire avec tous veut dire avec personne, puisqu’il n’y a pas d’identification possible à une totalité humaine (sauf si Mars attacks),
Mais la coopération/compétition se réifie dans l’hyperclasse internationale et sa conscience de domination économique et l’aliénation dans la servitude volontaire du troupeau avec des solidarités de circonstance infrapolitique, insignifiantes historiquement.
Pour être plus théorique, la liberté porte la nécessité comme aliénation mais la nécessité ne porte pas la liberté comme accomplissement.
Où pour le dire plus simplement pour vous, de goche donc tautologiquement limité pléonastiquement, l’amour béat de l’humanité apporte la douceur du bisounours, l’égalité rêvée du nuit debout, la modération bien-pensante avantageuse pour le Capital, l’indulgence du droitdelhommiste soumis etc. ; mais il n’inspire aucune volonté politique. L’amour est la volonté d’une perpétuation de qqchse de politique (et l’hiver démographique de l’UE est le symptôme de cet effondrement idéel) Et c’est ce qu’on constate, dépolitisation du libidineux, et les revendications superficielle où inconsistantes ds le TINA, plus d’auge, c’est tout.
Bon je pourrait en écrire 20 pages... Mais on ne refait pas les gogochons qui gobe la pensée dominante de Soros.. Le dominateur prêche la charité et la vertu pour baiser le peuple, tt anarchiste le sait, il aime les êtres « purs », bien lisses, bien ronds...
« L’être pur, Sein, [petit Gogochon à l’école] ne doit être fait d’aucune présupposition, il est le commencement [tout commencement est un dieu, avec des Nikes]. Il est nécessairement dépourvu de tout contenu [Passé honni du souchien], il ne doit être médiatisé par rien [pas de prof ni culture imposé...]
Il doit devenir l’être pur [du Capital], sans aucune détermination ultérieure [exceptée l’attirance irrépressible vers le néant de l’auge pour tous les indifférenciés].
L’être pur et le néant pur sont... la même chose [on définit ainsi le Gogochon]. Ce mouvement du disparaître immédiat de l’un dans l’autre a déjà été vu par Parmédide, [Eléate] et Héraclite [tout Gogochon coule vers Carrouf] » La Grande Lologique bobo, Naïade Vagino Bécassine Ed. Sorosiennes