@Hervé Hum
Oui je saisis bien ton propos...
de ce que je peux en « savoir » une pensée analytique pourrait, peut, potentiellement être non biaisée, ceci reste une théorie pour moi, pourquoi pas un fait pour d’autres , je n’ai rien ni contre ni pour d’ailleurs..
de ce que j’en connais si et quand au moins une partie de nos autres capacités se remettent en marche, pour faire court ces autres capacités ne sont pas analytiques , là oui la pensée analytique va commencer à être sous la guidance d’autre chose que elle même, elle même étant son programme, sa mémoire, ses désirs, ses peurs, etc etc
S’ en sortir quand on est manipulé, oui , admettre de s’être fait berné oui aussi..
peut être est ce que entre autre l’approche analytique pure, pensée pure incluant la logique etc m’a amené à m’enfoncer régulièrement, peut être n’est elle pas valable du tout sur le plan mental pure, peut être est elle seulement valable dans les domaines pratiques, point !!
ce sont des questions à laisser en suspend je pense..
, c’est mon expérience en tous les cas et celle de quelques personnes avec qui je communique ..
l’autre approche non analytique est celle ci...la souffrance , la peine etc produite par la pensée indique des erreurs, déjà là çà va très loin car cela implique que « quelque chose x » SAIT !!
c’est un signal, pour moi l’expérimentation factuelle me montre que c’ est aussi un catalyseur..ce catalyseur doit être absolument laissé libre de ses mouvements , en clair je souffre , l’analyse dit : c’est quoi ? elle va rechercher des causes mais surtout à s’en débarrasser car l’analyse croit que il y a elle donc « moi je » d’un coté et ce qu’elle nomme souffrance de l’autre coté....
ne pas analyser supprime tout cela , reste quoi ? je souffre...et la la fonction catalyseur se met en route comme elle l’entends..à partir de là rien n’est prévisible est ce que je , comme d’autres, savons...par expérience, que j’essaye de dire...
dans mon entourage direct cela a marché ..le point de départ ne pouvant être que un moment ou je ne vais pas bien..et ce quelqu’un soit la raison..
cela va aussi très loin car cela implique aussi que « quelque chose x »qui n’est plus la pensée sait..
ceci est accompagné de moments que la raison rejettera..lorsque cela se produit, la raison la ferme devant l’évidence..mais ceci doit être expérience personnelle, elle n’est pas transmissible sauf la partie ou la pensée est encore concernée peut être éventuellement montrée, mais seulement dans un moment de crise, sinon personne ne va écouter « un tel délire »..
cela va aussi très loin car être en crise est alors un moment qui doit arriver, la pensée doit échouer etc
bon je file...salutations

etc..