@moderatus
Le pragmatisme le plus basique serait de mettre ces individus à l’ombre, au moins à la première récidive, ce qui est loin d’être le cas, tout simplement pour des raisons économiques. La prison ça coûte cher, et les vider, peut faire oeuvre de démagogie progressive chez les ballots.....
Beaucoup de multi condamnés, pourtant, courant dans la nature, sans aucun suivi, comme ce dernier cas pendable, de l’assassinat de la petite Angélique. (avec aucun avertissement aux populations concernées, pour cause sans doute de « droits de l’homme » ou de « présomption d’innocence » .....
Il serait intéressant par ailleurs de s’interroger comment la société du spectacle favorise ce genre de personnalité, car nous sommes tous plus ou moins en miroir avec cette société. La fascination, la mise en image de la perversion, par notre société favorise à mon avis ce genre d’émergence, sur fond d’encouragement à l’individualisation et à l’hédonisme....
Sans les extraire de leur responsabilité, il serait urgent des s’interroger sur ces mécanismes ambivalents, donnant des ordres d’identification contradictoires, fascinés un jour par leur exactions, bien plus que par l’action de l’adjudant Beltranne.
Bref, au lieu de faire écho prodigieux de se genre d’affaire, ayant pour effet facheux de créer des psychoses, par voix de médias, et de transformer tous les hommes en prédateurs virtuels, choisir l’efficacité. Mais nous en revenons au budget, et au libéralisme.