@George L. ZETER
Cher auteur.
J’ai apprécié votre article, mais pour le cours de compréhension écrite, il y a une erreur de sortie au rond point....L’avez vous remarqué, mais je ne m’adressais pas à vous, mais au dénommé « sweach », qui se trouvait fort aise de tourner en ce manège....Vous n’aviez donc pas à prendre cette charge pour vous, ni la suspicion associée d’être un élu...
J’avais donc fort bien compris votre message, et sans faire redondance, et un tour supplémentaire de rond point, je me permettais de bien signaler à votre interlocuteur, que le problème ne venait pas du rond point en lui même, mais de son inadéquation, et de leur nombre, comme vous le signaliez !
Vous êtes cycliste, ai je cru comprendre, moi aussi !
Aussi je me permet d’ajouter que le rond point ressemble à une exercice mortel pour la pratique vélocipédique : Le vélo n’est absolument pas adapté au rond point. Et il faut noter que si un automobiliste risque juste quelques tôles froissées, le cycliste, lui, joue sa vie, dans ce cirque, comme un gladiateur d’un autre temps l’a jouait dans l’arène romaine !
Impossible pour lui de se rabattre vers l’intérieur, s’il veut se mettre en règle avec le code de la route, à moins d’être suicidaire.
Lui reste donc l’obligation de rester sur la courbe extérieure, au risque aussi de couper la route aux voitures qui veulent sortir. Un choix cornélien, un louvoiement entre la loi, et les codes de survie empiriques, que l’on peut affronter qu’avec de solides mollets, et un regard vers l’arrière, à la merci de ceux qui klaxonnent, et risquent de vous envoyer en l’air, et pourquoi pas le corps accroché aux œuvres d’art douteuses plantés au milieu !
Ce qui ferait là ce qu’on appelle « une performance artistique », rappelant les gibets moyenâgeux !
Les cyclistes, pour rappel sont les usagers qui proportionnellement ont vu leur nombre augmenté le plus. Le rond point semble bien un raccourci vers la mort.
Bon week end à vous aussi, et évitez les ronds points. Pour ma part j’ai déménagé maintenant de la ville.