Juillet 2014, la destruction du vol MH17 est immédiatement attribuée au tir d’un missile BUK à partir de la zone de combats opposant les forces ukrainiennes et séparatistes, ce qui avec qqs informations contradictoires laisse planer un doute sur l’origine du tir.
En Juillet 2016, le parquet général NL confirme un tir opéré par les rebelles pro-russes.
Mai 2018, nouveau rebondissement, le missile BUK vient de la base de Couse en Russie située à 380 km de Donetst,
ce qui donne qqs indications sur la portée et la précision des missiles BUK, ceux de la couverture radar des forces alliées et la qualité -perspicacité- des enquêteurs.
Rappelons qu’à cette époque que deux navires ’espions’ portant le pavillon tricolore croisaient en Mer Noire,
surchargées d’électroniques et de compétences, l
la presse s’en fit l’écho non sans 1 pointe orgueil,
le jour du crash, les deux navires étaient inopérants : 6 mois de mission, > 2 ans de révision en cale sèche,
que s’est il donc passé ?
l’équipage a-t-il bénéficié d’une perm pour s’adonner à la pêche à l’esturgeon ou plus grave une de ces pannes imprévisibles qui affecte encore trop souvent nos + belles réalisations,
Encore une belle occasion de briller gâchée ...
Des opérations de brouillage électronique d’une puissance hostile ne sont, à ce stade, pas exclues.
Quoiqu’il en soit, l’enquête progresse,
ns apprendrons bientôt que le missile fut expédié en direction l’Ukraine à partir du Kremlin,
+ précisément de la cour intérieure située et contrebas du bureau de Vladimir Poutine, l
lui même ayant actionné la commande de mise à feu.
La disparition du vol MH 370 entre océans Indien et Pacifique découle de circonstances identiques,
la commission d’enquête le prouvera, ce n’est qu’une question de semaines.
Cette tragédie se lit comme un roman, constamment parsemé de rebondissements inattendus et déroutants, avec ses personnages réalités et inquiétants.