@axalinencele
Effectivement diviser pour régner est vieux comme le monde et l’avènement de la « Démocratie », la voix au peuple, n’a rien changé la dessus. Il faudrait afin d’éviter ceci que le « vote blanc » comme manifestation du mécontentement démocratique, soit pris en compte ; ceci, les hommes politiques ne l’accepteront jamais. Je ne comprend pas votre photo de Macron et Attali !
De ce point de vue, celui de la manipulation, on se croirait revenu aux temps des sophistes et des cyniques sous l’antiquité !
Les difficultés, celles démocratiques, politiques, économiques, républicaines,aussi environnementales, ne sont pas de nature factuelle mais fondamentale ,car, en termes de SAVOIR, de réalité physique fondamentale, mais aussi métaphysique humaines, nous sommes totalement à côté de la plaque.
De ce point de vue une sérieuse remise en cause épistémologique s’impose avec une science qui soit un peu plus en phase avec la « Nature » et les « états de nature », dont une nature humaine qui ne relève pas du rationnel et encore moins du rationalisme paroxysme de rationalité et plus rationalité ; à coup sûr, plus du ratio des mathématiques quand ce devrait être la « raison raisonnable », la philosophie, qui devrait régner : l’ontologique, le déontologique, l’éthique et l’altérité !
La « Nature » et les « états de nature qui ont émergé, comme la nature humaine, ne relèvent pas du rationalisme, de ce rationalisme de la chose pour la chose, de cette civilisation des mots en »isme« qui sont comme autant de paroxysme, d’abus des choses ; c’est du paradoxal que tout ceci relève et, de ce point de vue tout est à repenser !
C’est pourtant une piste : qui se soucie des acquits intellectuelles du XX è siècle qui sont issus de la physique quantique ?
- Principe d’incomplétude du savoir ; pourtant le savoir est nécessaire... mais il doit relever de l’entendement et non de la dichotomie.
- Principe d’incertitude de la prévision et pourtant il nous faut avoir des certitudes
- Principe d’impossibilité : la perfection n’existe pas et serait même le signe de la fin tellement la complexité est nécessaire.
La physique quantique nous dit que l’Univers, qui va le l’infiniment petit à l’infiniment grand, et dont nous sommes faits,que la Nature et les »états de nature« qui ont émergés sont complexes, extrêmement complexes, et même paradoxaux ; que le rationalisme cartésien ne fait pas l’affaire bien au contraire.
C’est la logique des systèmes, et pour éviter l’écueil du système pour le système, du système imbécile, c’est la logique »écosystémique« , voire même celle »métaécosystémique", qui devrait présider en matière de savoir !