@ZEN,
"Le véritable danger du globish est sa
simplicité. Il s’agit de la novlangue d’Orwell. La simplification
signifie que la langue devient essentiellement utilitaire et qu’il est
malaisé de manier les concepts. En d’autres termes, le débat d’idées
devient quasi impossible dans un idiome réduit à la syntaxe sommaire.... "
C’est tout à fait vrai.
Alors, d’après ce général Béca, faudrait-il rendre les choses difficiles à apprendre apportent plus d’efficace ?
Je pense le contraire.
Du moins si on veut que les locuteurs augmentent et gardent leur langue opérationnelle dans le monde. L’Afrique, puisque sa population augmente, est la chance pour la francophonie.
Quand on constate les difficultés absconses de l’orthographe qui rebutent tous les étrangers à la langue, cela risque toujours de capoter en route.
Trop de lettres sont inaudibles pour des accords qui n’ont rien à voir avec la compréhension, il y a danger.
Combien de fois n’ai-je pas parler avec des personnes qui parlaient bien en français, mais quand il s’agissait de communiquer par écrit, demandait de le faire en anglais...
A réfléchir, donc
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