@Trelawney
Comme à l’accoutumée la plupart de vos chiffres et raisonnements sont totalement bidons ! Vous n’en avez pas marre de désinformer vos lecteurs... ? C’est de l’incompétence ou bien une volonté consciente ?
Le facteur de charge du parc éolien offshore d’Anholt est de 52,8% sur les douze derniers mois, meilleurs que prévus nominalement :
52,8% de facteur de charge, pour 399,6 MW de puissance installée, cela nous donne une production annuelle de 1,848 TWh, et non pas 5,5 comme vous l’avez recopié maladroitement sans tenir aucun compte des ordres de grandeur pourtant évidents. Son coût est de 1,35 milliards d’€.
Coût du TWh éolien Anholt : 0,731 milliards d’€.
Mais ça c’est le coût de son installation SEULE, sans compter le nécessaire renforcement du réseau ainsi que le service-système - le backup pour pallier l’intermittence.
Un EPR de 1,6 GW disposant d’un facteur de charge de 90%, produira annuellement 12,6 TWh. Coût de la tête de série française : 10,5 milliards d’€.
Coût du TWh nucléaire EPR Flamanville : 0,833 milliards d’€.
Mais sans surcoût supplémentaire, et surtout sans backup puisque l’énergie produite est de l’électricité de base pilotable. D’autre part il est évident que ce coût baissera à l’avenir par économie d’échelle, lors d’une production en série.
D’une manière générale : si les ENR intermittents étaient si compétitives, on ne comprendrait pas pourquoi TOUS les pays au monde doivent les subventionner à dizaines de milliards chaque année, comme on ne comprendrait pourquoi les deux pays les plus en pointes dans leur développement en Europe, le Danemark et l’Allemagne, sont les pays où le prix du KWh est de loin le plus élevé, près du double de celui français !
Vous ne pourrez par résoudre ces contradictions manifestes sans vous fourvoyer.