@Yanleroc. C’est bien d’accumonceler ainsi les sornettes des VRAIS croyants.
A retenir pour le sottisier : « ductile, agglomérantes, adhèrent aux molécules d’eau, nouvelles molécules plus performantes, réactiver une nouvelle traînée, s’étaler sur un grand volume de vapeur ».
Plaçant le coeur à droite et le foie à gauche, Sgnanarelle refondait la médecine « sur des bases toutes nouvelles ». De même le pseudo « yanleroc » refonde la météorologie et la physique de l’atmosphère sur des bases toutes nouvelles...
Tes traînées persistantes n’arrivent QUE dans une couche d’air sursaturée d’altitude. Rien du tout dans d’autres conditions. Ainsi en région lyonnaise, je n’ai pratiquement jamais ces conditions au dessus de nous. Ceux qui en sont obsédés résident tous bien plus près d’une mer que nous ici.
Ces obsédés s’imaginent qu’en toutes circonstances nos sens et nos sentiments fournissent une image fidèle de la réalité, et qu’en conséquence toute instrumentation est superflue. Le marin de l’Ouest transplanté en Méditerranée découvre une difficulté inattendue : dans un air plus sec, les marqueurs nuageux auxquels il prêtait grande attention, sont le plus souvent absents, et il est davantage dépendant du bulletin météo à la radio. Les fronts chauds ne sont plus toujours marqués de cirrus. Sauf si des avions passent par là à la bonne altitude pour déclencher ces condensations visibles.
La C.I.A. est très satisfaite de ton outrecuidance et de ton ignorance épaisse ; elle peut te faire gober n’importe quoi.