@HELIOS
Bravo et merci pour ce commentaire émouvant et lucide. Les beaux esprits nous serinent à longueur de plateaux télé que un
million de migrants par an pour cinq cents millions d’européen, ce n’est
rien. Mais ils oublient que ces migrants veulent aller où sont déjà
leurs frères en allah : dans quelques pays, et quelques régions et
quartiers où ils créent des ghettos communautaires, ferments de tous les
terrorismes, et – pire – point d’appui pour la renaissance de La Bête,
cette extrême droite qui pointe dangereusement son nez partout en Europe
en réaction au laxisme des dirigeants.
Oui mais alors que faire ? Arrêter cette lâcheté qui nous paralyse et
faire preuve de pragmatisme. Les « réfugiés » fuient un pays en guerre.
Les Français, les Belges l’on fait lors de la dernière grande boucherie
européenne. C’est normal. Mais la vocation d’un réfugié n’est pas de
s’installer dans le pays qui l’accueille, mais d’y attendre des temps
plus propices pour regagner son pays. Pour les plus motivés, les plus
courageux, organiser la résistance depuis les pays d’accueil. Ce que
faisaient les Français, les Belges, les Polonais réfugiés en Angleterre.
Tous ces hommes jeunes – ils représentent 70 % des migrants –
qu’attendent-ils pour demander aux autorités des pays d’accueil de les
entrainer et de les envoyer, en bataillons équipés et armés, à la
reconquête de leur pays ? Ils attendent qu’on y envoie nos troufions s’y
faire trouer la paillasse pour eux ?
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/syrie-migrants-et-si-on-cessait-l-180100