Bonjour,
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Ces borborygmes médiatiques « mainstream » occultent soigneusement la gigantesque dette actuelle des USA et de nombreux pays »
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La dette publique du Japon est de 250% du PIBhttps://www.lemonde.fr/economie/article/2017/03/11/l-endettement-a-250-souci-mineur-du-japon_5093026_3234.html.
Olivier Delamarche : “
Avec une dette de 240% de son PIB, le Japon est mort !”
https://www.businessbourse.com/2016/05/31/olivier-delamarche-avec-une-dette-de-240-de-son-pib-le-japon-est-mort/.
Si l’on prend l’exemple des États-Unis, ce pays n’a plus enregistré d’excédent budgétaire depuis 2001, alors que sa dette n’était encore à cette époque que de 6.900 milliards de dollars (54 % du PIB). Aujourd’hui, la dette américaine a atteint le montant vertigineux de 20.000 milliards de dollars (107 % du PIB).
http://www.bvoltaire.fr/taux-dinteret-ridiculement-bas-de-bce-eviter-lexplosion-dettes/.
Quels sont les tristes champions de la dette mondiale en pourcentage de la dette publique mondiale faramineuse de 63.000 milliards de dollars ? On trouve en premier les États-Unis : 19.947 milliards de dollars (31,8 % de la dette mondiale) ; suivis par le Japon : 11.813 milliards de dollars (18,8 %) ; la Chine : 4.976 milliards de dollars (7,9 %) ; l’Italie : 2.454 milliards de dollars (3,9 %) ; la France : 2.375 milliards de dollars (3,8 % de la dette mondiale).
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En 1929, les gens pensaient que tout ne pourrait qu’aller bien.
Il y avait dans l’air un vent d’optimisme comparable à celui des médias d’aujourd’hui et du banquier Macron. Il y régnait une spéculation boursière éhontée et un crédit bancaire aussi généreux qu’exubérant. Cinq jours avant le krach, Thomas Lamont, directeur de la très conservatrice Morgan Bank, écrivait au président Hoover : «
L’avenir s’annonce brillant. Nos titres sont les plus désirables du monde. »
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Mais il y avait aussi un économiste américain critique de Wall Street qui fut vilipendé par les médias car s’en prenant à la spéculation et mettant en garde contre l’effondrement à venir ;
il fut même accusé de manquer de patriotisme. Il s’appelait Roger Babson. Les faits lui donnèrent raison..
L’histoire est entrent de se répéter ... et on sait comment cela ce terminera ...