On voit bien, à lire cet article effarant, ce qui se passe actuellement en France, et qu’un véritable antisémitisme d’état est en train de refaire surface, aussi abject que celui des années 30, et tout aussi pernicieux.
L’exemple venant d’en haut, c’est-à-dire d’un Macron fabriqué par les media et qui paraît s’être vendu aux mollahs iraniens, les media s’appliquent à la désinformation sur Israël.
Les incendies provoqués par les cerfs-volants ont détruit des surfaces cultivées équivalentes à quatre fois celle que recouvre la ville de Tel Aviv. Des roquettes tombent quotidiennement dans la zone des six ou sept kilomètres au nord de la frontière, en particulier sur Sdérot. Les enfants dorment dans les abris, et les sirènes, plusieurs fois retentissent au cours de la nuit. Le délai est de cinq à quinze secondes avant l’explosion. Je voudrais bien savoir ce que penserait l’auteur de cet article s’il était confronté à une pareille situation, laquelle se renouvelle périodiquement tous les trois ou quatre ans.
Tenter d’incendier des récoltes ou des villages, après avoir tenté de forcer la barrière de sécurité qui est une frontière, à seule fin de capturer des soldats et de massacrer les habitants des kibboutzim qui sont à quelques centaines de mètres, ce sont des ACTES DE GUERRE, et qui doivent être traités comme tels. Depuis la cession de Gaza fin 2005, il n’y a plus un seul Israélien dans la bande de Gaza. Plusieurs milliers, qui vivaient dans le Gush Katif, l’ont définitivement quittée lors de la cession voulue par Sharon. Avec le fric des aides internationales, les Gazaouis auraient pu faire de leur ville une sorte de Tel Aviv. La construction des tunnels, les missiles, les détournements financiers opérés par les chefs du Hamas, tout cela aura réduit près de deux millions d’habitants à une misère abominable. Ils manquent d’électricité, ils n’auront bientôt plus d’eau potable.
Derrière ces exactions, c’est l’Iran qui tire les ficelles.
Le Hamas est vendu, comme la France, au régime de Téhéran. Encourager des Gazaouis décérébrés par la propagande à multiplier leurs exactions imbéciles, c’est les enfoncer un peu plus radicalement dans l’horreur. Macron, après les morts du 14 mai, et pour complaire à son électorat musulman antisémite, avait jugé « odieuse » une répression qui était pourtant inévitable. L’objectif du Hamas - peut-on l’ignorer ?- , ce n’est pas un partage du territoire, mais de massacrer ou de foutre à la mer tous les Juifs de la région. Voudrait-on que ceux-ci consentissent au sort qu’on leur promet ? Caresser dans le sens du poil ces sortes de fanatiques et les confondre avec des « civils pacifiques », comme l’avait fait Macron, c’est cela qui était odieux. A contrario, un responsable politique du Bahrein (qui sera probablement le premier état du Golfe à normaliser ses relations diplomatiques avec israël) reconnaissait naguère, tout comme son voisin ben Salmane, qu’Israël agressé avait tout à fait le droit de se défendre.
Le Français qui croit savoir ce qui se passe dans cette région du monde, lorsqu’il va chercher ses informations dans les caricatures grotesque proposées par les agences de presse françaises ne peut dire que des conneries, et se ridiculiser de la manière la plus pitoyable.