@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Pas vraiment convaincu, il faudrait voir les contours exacts de telles études. D’abord, nos cerveaux diffèrent significativement les uns des autres (par exemple les psychopathes qui nous gouvernent ont très probablement un fonctionnement cérébral et hormonal particulier).
Sinon, pour prendre un cas simple, au-delà des études, je pense etre à meme de percevoir ce à quoi je suis sensible et notamment ce qui me déprime. En tant qu’etre humain empathique, je suis d’abord et avant tout sensibles aux voix, plus précisémment aux voix habitées et puissantes qui viennent des tripes (Piaff, Winehouse, etc.. et aussi Dani Klein) et qui expriment plus que de la mélancolie : de la douleur. Et ce, que la musique et l’air soient classiques, jazzy, blues, rock, guinguette ou que la chanson soit a cappella. Je ne sais pas sur quel type d’hormone agit ce genre de voix, mais l’effet plaisant qui en découle sur moi est limpide.
Bon, Melanie de Biaso, c’est très bien (et très élaboré). Mais au delà de la musique excellente, je ne ressens pas sa voix comme venant du ventre : sa mélancolie me parle peu, son expression manque de générosité, et pourrait finalement me déprimer.
Allez, une petite musique euphorisante, avec des boums et des zims